L’aventure de Jean-Pierre Boyer et sa Femme face à l’Intrigue du Roi Charles de France.
On est à la veille de 1843 ! La veille du règne de Jean-Pierre Boyer le poltron qui dirigeait l’ile entière en imbécile et idiot. Après avoir fermé toutes les écoles du Nord, comme pour tuer le rêve vital de notre chère Haïti qui devrait être similaire à celui du rêve américain, suite à la chute de notre bon roi idéaliste Henri Christophe et versé des rançons inutiles pour le gage de l’indépendance acquise par le sang de nos Héros, lui et ses ravisseurs sans scrupules et sans vergognes ont hypothéqué la souveraineté du Pays qui se débouchera sous une comédie politique à perpétuité où la pièce théâtrale est jouée comme on change des sous-vêtements après sa dite démission au pouvoir. En termes d’une vie politique de poltron pendant 25 ans de 1818 à 1843, il n’y en était pas si pragmatique. Nos fameux Héros notamment Henry Christophe, Dessalines, Pétion, Toussaint Louverture, Maurepas, Boisrond Tonnerre, Cappoix, devraient-ils ressusciter et ressusciteront évidemment de leurs tombeaux de silence pour réapprendre à lui et aux autres les leçons de bravoures, de courage et de fierté.
En effet Boyer n'était encore pas allé à une ligue quand avant qu’il soit dans une vallée politique que la partie de l’Est de la république Dominicaine (Saint-Domingue) demanda volontairement à se mettre sous son gouvernement en 1822. Et l’ile ne forma qu’un seul Etat jusqu’en 1844. A l’horizon, pendant qu’il vacilla dans un désert politique fragile et piégé, où il voyait venir cinq autres chevaliers voleurs et kidnappeurs, avec des lances dans le repos, boucliers tenus étroitement dedans sur le cou, et leurs casques brillants ont lacé vers le haut fortement ; ils étaient aussi sur le pillage plié. Leurs véritables missions étaient d’imposer farouchement l’indemnité sous caution de 150 millions de francs. D'un seul trait ils ont vu la femme de Boyer s'approcher responsable des trois chevaux de chars blindés, et Boyer qui l’a suivie ensuite. Dès qu'ils les ont vus, ils ont divisé leur équipement parmi eux-mêmes, juste comme s’ils avaient déjà pris la possession d'elle. La concupiscence ou l’appétence est une infecte chose. Mais elle ne s'est pas avérée comme ils ont prévu ; car la défense vigoureuse a été faite avec la malice invisible de nos Héros vigilants qui surgissent dans le silence lointain. Tout ce qu'un imbécile, un voleur, un kidnappeur projette ne pas toujours s’exécute, et le méchant fait toujours un travail qui le dupe et le trompe d’une façon ou d’une autre. Ainsi, c’est ce qui leur a arrivé dans cette attaque de voleur et de pillage.
L’un a indiqué qu'il prendrait la bonne ou perdrait sa vie dans la tentative ; et d’autres ont indiqué que le cheval bigarré blindé serait à lui, et qu'il en sera satisfait. Le tiers a indiqué qu'il prendrait le cheval noir blindé. "Et le blanc pour moi," a indiqué le quart. Le cinquième n’était pas du tout en arrière, et voué qu'il aurait le cheval et les bras du chevalier lui-même. Il a souhaité les gagner tout seul, et l'attaquerait volontiers d'abord, s'ils lui donneraient le congé : et ils ont volontairement donné le consentement. Alors il les laisse et monte en avant sur un bon et endiablé cheval-blindé. Boyer l'a vu, mais a fait la prétention qu'il ne l'a pas encore noté. Quand la femme de Boyer les a vus, son cœur a gambadé avec la crainte et grande consternation. "Hélas!" dit-elle, "je ne sais pas quoi dire ou ; car mon seigneur Boyer me menace sévèrement, et dit qu'il me punira, si je lui parle un mot. Mais si mon seigneur Boyer était mort maintenant, il n'y aurait aucun confort à moi. Je devrais être tuée et rudement traitée. Déité ! Mon seigneur Boyer ne les voit pas ! Pourquoi est-ce que j'hésite alors que je suis folle ? Je suis en effet trop prudente de mes mots, quand démuni de moi j’ai déjà parlé à lui. Je sais assez bien que ceux qui viennent là-bas sont attentifs sur un certain contrat mauvais. Ils sont peut-être des estafettes du Roi Charles de France si je ne m’abuse pas ! Et Dieu ! Comment est-ce que je dois lui parler ? Il me tuera. Bien, laissez-le me tuer ! Pourtant je ne manquerai pas de lui parler." Alors elle l'appelle doucement : "père!" "Ce qui?" lui dit, " que voulez vous?" "Votre pardon, père. Je veux vous dire que cinq chevaliers kidnappeurs ont émergé là-bas du bosquet de la capitale haïtienne, duquel je suis dans la crainte mortelle. Après les avoir notés, je suis de l'opinion qu'ils ont l'intention de vous combattre, de piller vos richesses, votre territoire et quoi d’autres. Ils sont comme les hommes politiques qui n’ont ni cœur, ni foi ni loi et c’en a été votre sentence et pénitence pendant tout votre règne et gouvernance pendant plus que 21 ans. Ils ne se lassent pas de vous dérober et dépouiller come un vaut-rien, pardonnez-moi l’expression si elle est lourde d’entendre. Quatre d'entre eux sont restés derrière, et l'autre vient vers vous aussi rapidement que son cheval blindé peut le porter. J'ai peur qu'il ne vous tortille pas. 'C’est vrai, les quatre autres sont restés derrière ; mais ils ne sont toujours pas partis lointain, et l'aideront rapidement, si le besoin se fait sentir.
" Ainsi Boyer lui répond : "vous avez eu une pensée mauvaise, quand vous avez transgressé ma commande -- une chose que je vous avais interdite. Mais j'ai su toute l'heure que vous ne m'avez pas tenu dans l'estime. Votre service a été défectueusement utilisé ; car il n'a pas réveillé ma gratitude, mais a plutôt allumé ma colère. Je vous ai dit cela une fois, et je l'indique encore. Ceci de nouveau je vous pardonnerai ; mais quand une autre heure se retient, ne tournez pas encore autour de moi pour m'observer : car de cette manière vous soyez très idiote. Je ne goûte pas vos mots." Puis clignote des dents à travers le champ vers son adversaire, et ils viennent ensemble. Chacun cherche et envahit l'autre. Boyer le frappe avec une telle force que son bouclier vole de son cou, et il casse ainsi son collier-os. Ses étriers se cassent, et il tombe sans force pour se lever encore, parce qu’il a été mal meurtri et blessé. Un des autres est alors apparu, et ils s'attaquent violemment. Sans difficulté Boyer pousse le dièse et l'acier bien forgé dans son cou sous le menton, divisant de ce fait les os et les nerfs. Au fond de son cou la lame dépasse, et le sang rouge chaud circule vers le bas sur les deux côtés de la blessure. Il rapporte son esprit, et son cœur est immobile. Le troisième salie en avant de son cacher-endroit de l'autre côté d'un couloir. Directement par l'eau, il avance. Les dents de Boyer l'expédient et rencontrent avant qu'il soit sorti de l'eau, l'heurtant tellement dur qu'il bat en bas du cavalier et du cheval d'appartement. Il ajuste la configuration sur le corps assez longtemps pour le noyer dans le jet, et a alors lutté jusqu’avec la difficulté qu'il a obtenue sur ses pieds. Ainsi il a conquis trois d'entre eux, et les autres deux l'ont pensé sage de stopper le conflit et de ne pas tâcher avec lui. En vol ils suivent le jet, et Boyer après eux à la poursuite chaude, jusqu'à ce qu'il sonne un sur l'épine tellement dur qu'il le jette en avant sur seller-cintrer. Il a mis toute sa force dans le coup, et casse sa lance sur son corps, de sorte que le camarade soit tombé au premier principal.
Boyer lui fait le salaire chèrement pour la lance qu'il a cassée sur lui, et a tiré son épée de la gaine. Le camarade imprudent s'est redressé vers le haut ; car Boyer lui a donné trois telles courses qu'il a éteint la soif de son épée dans son sang. Il divise l'épaule de son corps, de sorte qu'il soit tombé vers le bas sur la terre. Puis, avec l'épée dessinée, il a attaqué l'autre, car il a cherché à s'échapper sans compagnie ou escorte. Quand il voit Boyer le poursuivant, il a si peur qu’il ne sache pas quoi faire : il n'ose pas lui faire face, et ne peut pas se détourner ; il doit laisser son cheval, parce qu’il n'a plus de confiance en lui. Il jette son bouclier et lance, et glisse de son cheval à la terre. Quand il l'a vu sur ses pieds, Boyer ne s'est plus inquiété de le poursuivre, mais il s'est penché plus sur la lance, ne souhaitant pas laisser cela, en raison de ses propres qui avait été cassées. Il porte au loin sa lance et part, ne laissant pas les chevaux blindés derrière : il attrape chacun des cinq d'entre eux et les mène au loin. La Dame a eu le travail dur pour les mener tous ; car il remet chacun des cinq d'entre eux à elle avec les autres trois, et la commande d'aller le long vivement, et de garder de s'adresser à lui pour qu'aucun mal ne puisse venir à elle. Ainsi pas un mot elle répond, mais garde plutôt le silence ; et ils vont ainsi, menant avec eux tous les huit chevaux blindés.
Ils sont montés jusqu'à la tombée de la nuit sans parvenir à n'importe quelle ville ou abri. Quand la nuit a avancée, ils ont pris le refuge sous un arbre dans un domaine ouvert. Boyer offre son sommeil de dame, et il observera. Elle répond qu'elle ne veut pas, parce qu’il n'est pas exact, et elle ne souhaite pas faire ainsi. Il est pour qu'il dorme puisqu’il est plus las. Le puits a satisfait à ceci, Boyer accède. Sous sa tête il a placé son bouclier, et la dame a pris son manteau, et l'a étiré au-dessus de lui de la tête au pied. Ainsi, il a dormi et elle a maintenu la montre, ne somnolant jamais toute la nuit, mais tenant fortement dans sa main par le frein les chevaux jusqu'à ce que le matin se soit cassé ; et beaucoup qu'elle a blâmé et s'est reprochée pour les mots qu'elle avait poussés, et dit qu'elle a agi mal, et n'était pas demi ainsi défectueusement traitée pendant qu'elle méritait d'être. "Hélas," dans quelle heure mauvaise, moi j’étais témoin de ma fierté et présomption ! Je pourrais avoir su sans doute qu'il n'y avait aucun chevalier meilleur que, ou si bon comme, mon seigneur Boyer. Je l'ai su assez bon avant, mais maintenant je le sais mieux. Pour moi, j’ai vu avec mes propres yeux comment il n'a pas fléchi devant trois ou même cinq hommes armés. Une peste pour toujours à ma langue pour avoir poussé tant de fierté et insulte ! Maintenant, je me contraigne à souffrir la honte!" Toute la nuit longue elle a ainsi déploré jusqu'à ce que le matin ait né.
A l’aube du jour, Boyer se lève tôt, et encore ils prennent la route, elle au devant et lui derrière. À midi un châtelain les a rencontrés dans une petite vallée théâtrale de la politique, accompagnée de deux camarades qui portaient les gâteaux et le vin et des fromages riches d'automne à ceux qui fauchaient le foin dans les prés appartenant au compte de la colonie française. Le châtelain était un camarade intelligent, et quand il a vu Boyer et sa femme, qui venaient de la direction des bois, il a perçu qu'ils doivent avoir passé la nuit dans la forêt et avait eu rien à manger ou boire ; car dans un rayon du voyage d'un jour il n'y avait aucune ville ou tour, aucun endroit ou monastère fort, asile ou endroit de refuge. Ainsi il a formé un but honnête et a tourné ses étapes vers eux, saluant eux poliment et économisant : "père, je présume que vous avez eu une expérience dure la nuit passée. Je suis sûr que vous n'avez eu aucun sommeil et avez passé la nuit en ces bois. Je vous offre une partie de ce gâteau blanc, svp, je vous prie d’y participer. Je ne le dis pas dans l'espoir d’une récompense : pour moi, je ne demande et exige rien de vous. Les gâteaux sont faits en bon blé ; je prends le bon vin et des fromages riches, aussi, un tissu blanc et des cruches fines. Si vous vous consentez prendre le déjeuner, vous n'avez pas besoin de chercher plus loin. Sous ces hêtres blancs, ici sur le gazon, vous pourriez congédier vos bras et reposer un moment. Mon conseil est que vous démontez." Boyer a obtenu vers le bas de son cheval et a indiqué : "ami doux juste, je vous en remercie : J’en mangerai quelque chose, sans aller plus loin." Le jeune homme a bien su quoi faire : il a aidé la dame de son cheval, et les garçons qui étaient venus avec le châtelain ont tenu les chevaux tous blindés comme des chars blindés pour l’assaut. Alors ils entrent et s'asseyent vers le bas à la nuance. Le châtelain soulage Boyer de son casque, enlace l'embouchure devant son visage ; alors il étend le tissu devant eux sur le tuf épais. Il leur passe le gâteau et le vin, et prépare et coupe un fromage. Tout affamés qu'ils étaient, ils se sont aidés, et ont heureusement bu du vin. Le châtelain les sert et n'omet aucune attention. Quand ils avaient mangé et avaient bu leur suffisance, Boyer était affable et clément. "Ami," lui dit, "comme récompense, je souhaite vous présenter avec un de mes chevaux. Prenez celui que vous aimez le meilleur. Et je vous prie de n'avoir aucune difficulté pour que vous retourniez à la ville et fassiez prêt là un logement gracieux." Et il répond qu'il fera heureusement quoi que soit à lui. Alors il va jusqu'aux chevaux et, les déliant, choisit le tacheté blindé, et parle ses mercis ; car celui-ci semble être le meilleur. Vers le haut il jaillit par l'étrier gauche, et les laissant tous les deux là, il est monté au loin à la vitesse de ville en haut, où il a engagé les quarts appropriés. Voyez maintenant ! Il est de retour encore : "maintenant montez, engendrez, rapidement," lui dit, "pour que vous ayez un bon logement d'amende prêt." Boyer monté, et puis sa dame, et, car la ville était dure près, ils avaient bientôt atteint leur loger-endroit. Là ils ont été reçus avec joie. L'hôte avec la bonté leur a souhaité la bienvenue, et avec la joie a pris la disposition généreuse pour leurs besoins.
Quand le châtelain avait fait pour eux tout l'honneur qu'il pourrait faire, il est venu monter encore sur son cheval, le menant au loin devant la tonnelle du Comte en chef des émissaires du Roi Charles de France à l'écurie. Le Comte et les trois de ses valets se penchaient hors de la tonnelle ; le Comte, voyant son châtelain monté sur le tacheté cheval, demande-lui à qui il était. Et il a répondu qu'il était à lui. Le Comte, considérablement étonné, indique : "comment cela ? Là où est-ce que vous l’obtenez?" "Un chevalier que j'estime me l'a fortement donné, père," l'indique. "Je l'ai conduit dans cette ville, et il est logé à une maison des hamburgers. Il est un chevalier très courtois et l'homme le plus bel que j'aie jamais vu. Même si je vous avais donné mon mot et serment, je ne pourrais pas à moitié vous dire à quel point il est beau.
" Le Comte lui répond : "je suppose et présume qu'il n'est pas plus beau que je le suis." "Sur mon mot, père," le sergent dit, "vous êtes très beau et un monsieur. Il n'y a pas un chevalier dans ce pays, un indigène de cette terre, que vous n'excelliez pas en faveur. Mais j'ose maintenir au sujet de celui-ci qu'il est plus juste que vous, s’il n’était pas noir battu et bleu sous sa tunique, et meurtri. Dans la forêt qu'il avait combattue simple a remis avec huit chevaliers, et file loin leurs huit chevaux. Et là vient avec lui une dame tellement et loyalement que la dame n'était jamais à moitié si juste en tant qu'elle."Quand le Comte entend ces nouvelles, le désir le prend pour aller voir si c'est vrai ou faux. "Je n'ai jamais entendu une telle chose," lui dit ; "tenez-moi maintenant à son loger-endroit, parce que certainement je souhaite savoir si le mensonge de quoi vous parler est la vérité." Il répond : "droit heureusement, père. C'est la manière et le chemin de suivre, parce qu’il n'est pas loin d'ici." "Je suis impatient de les voir," dit le Comte. Alors il descend, et le châtelain l'invite à consentir pour accepter de lui une garantie pour le paiement de ses dépenses dans la ville. Mais Boyer ne daigne pas l'argent, et n'a aucun besoin d'accepter l'aumône de lui. Ils parlent longtemps d’obtenir outre de son cheval, et lui fait construire de compte dans son endroit. Alors il a couru en avant pour dire à Boyer que le Comte venait chez lui. Le logement de Boyer était riche en effet – de la sorte à laquelle il était accoutumé. Il y avait beaucoup de cônes et les bougies ont allumées tous environ. Le Comte est venu occuper par seulement trois compagnons. Boyer, qui était des façons aimables, s'est levé pour le rencontrer, et a hurlé : "bienvenue, père!" Et le Comte a renvoyé sa salutation. Ils sont assis tous deux côte à côte sur un sofa blanc mou, où ils causent avec l'un l'autre. Le Comte lui fait une proposition et pas pour accepter, dire il est bien fourni avec beaucoup de choses, mais le Comte jette un coup d'œil constamment environ dans l'autre direction, où il a attrapé la vue de la dame. En raison de sa beauté manifeste, de son antique perle rare, il a fixé toute sa pensée sur elle. Il l'a regardée autant qu'il pourrait ; il l'a convoitée, et elle l'a satisfait de sorte que sa beauté l'ait rempli avec amour. Très rusé, le Comte a demandé à Boyer la permission de parler avec elle. "Père," lui dit ; "je demande une faveur de vous, et elle peut ne pas vous contrarier. Comme acte de la courtoisie et comme plaisir, je m'assiérais volontiers par là-bas le côté de la dame. Avec la bonne intention je suis venu pour vous voir tous les deux, et vous ne devriez voir aucun mal dans cela. Je souhaite présenter à la dame mon service de tous points. Savez bien que pour l'amour de vous je ferais quoi que je puisse pour la satisfaire." Boyer n'était pas moins jaloux et suspecté aucun mal ou trahison. "Père," lui dit, "je n'ai aucune objection. Vous pouvez vous asseoir et parler avec elle. Ne pensez pas que j'aie n'importe quelle objection. Je vous donne la permission volontairement." La dame a été assise environ deux lance-longueurs loin de lui. Et le Comte a pris sa fin de siège près d'elle sur un bas tabouret. Prudente et courtoise, la dame a tourné vers lui. "Hélas, “il quotte, "comme je sui affligé.je suis venu vous voir dans un tel état humble ! Je suis dans la grande détresse désolée et de sentir. Mais si vous croyiez mon mot, vous pourriez avoir l'honneur et le grand avantage, et beaucoup de richesse s'accroîtrait à vous. Une telle beauté comme la vôtre a droit au grand honneur et distinction. Je vous ferais ma maîtresse, si elle vous satisfait et est votre volonté ; vous seriez ma maîtresse chère et excédante dame de toute ma terre. Quand je daigne vous courtiser ainsi, vous ne devez pas dédaigner mon costume. Je sais et perçois que votre seigneur Boyer ne vous aime pas et n'estime pas. Si vous resterez avec moi, vous seriez joint à un digne seigneur." '"Père," dit la dame de Boyer, "votre proposition est nulle. Elle ne peut pas être. Améliorez que j'étais pourtant à venir, ou brûlé sur un feu des épines et que mes cendres ont dispersés à l'étranger que cela je devrais jamais m'être faux à mon seigneur Boyer, ou concevoir n'importe quel crime ou trahison vers lui. Vous m'avez fait une grande erreur en faisant une telle proposition. Je ne serai pas d'accord pour aucune chose au monde." La colère du Comte a commencé à monter. "Vous dédaignez pour m'aimer, dame?" lui dit ; "sur mon mot, vous êtes trop fière. Ni pour la flatterie ni pour la prière vous ne ferez ma volonté ? Il est sûrement vrai que les armatures de la fierté d'une femme que plus on la prie et flatte ; mais celui qui l'insulte et déshonore la trouvera souvent plus minable. Je vous donne mon mot que si vous ne faites pas ma volonté là bientôt sera un certain épée-jeu ici. Correctement ou incorrectement, j'aurai votre seigneur Boyer massacré bien ici devant vos yeux." "De gueulasse lui dit la dame, "il y a une meilleure manière que cela vous indique. Vous commettriez un contrat mauvais et déloyal si vous le tuiez ainsi. Le calme vous-même encore, je prie ; pour moi ; je ferai votre plaisir. Vous pouvez me considérer comme vos propres, parce que je suis à vous et souhaite être. Je n'ai pas parlé comme j'ai fait de la fierté, mais j’ai appris et ai prouvé si je pourrais trouver en vous l'amour vrai d'un cœur sincère. Mais je n’ai aucun prix ; je ne vous ferais pas commettre un acte de trahison. Mon seigneur Boyer n'est pas sur sa garde ; et si vous le tuiez ainsi, vous feriez un contrat très laid, et je devrais avoir le blâme pour lui. Chacun dans la terre indiquerait qu'il avait été fait avec mon consentement. Allez et reposez-vous jusqu'au lendemain, quand mon seigneur Boyer sera sur le point de se lever. Alors vous pouvez l’améliorer ; faites mal sans blâme et sans reproche." Avec les pensées de son cœur ; des mots ne sont pas d'accord. '"Père," lui dit, "me croyez maintenant ! N'ayez aucune inquiétude ; mais envoyez ici demain vos chevaliers et châtelains et faites-emporter moi par la force. Mon seigneur se précipitera à ma défense, parce qu’il est fier et assez "courageux". Ou dans le sérieux ou pour le rire, ayez la défectuosité saisie et traitée, ou frappez sa tête au loin. J'ai mené cette vie maintenant assez longtemps ; pour dire la vérité. Je n’aime pas la compagnie de mon seigneur Boyer. Plutôt je sens votre corps se trouver près de moi dans un lit. Et puisque nous avons atteint ce point, de mon amour vous pouvez être assuré.
" Le Comte lui répond : "il est bien, ma dame ! Dieu bénisse l'heure que vous êtes né ; dans le grand domaine vous serez tenu." "Père," lui dit, "en effet, je le crois. Mais j'aurais volontiers votre mot que vous me jugerez toujours chère ; je ne pourrais pas vous croire autrement." Heureuses et joyeuses, les réponses du compte : "voyez ici, ma foi que je mettrai en gage à vous fidèle comme Comte, que je ferai toutes vos demandes. N'ayez aucune autre crainte de cela. Tout ce que vous vous voulez l’aurez toujours." Alors elle a pris le mot ; mais peu qu'elle a évalué ou s'est inquiétée de lui, excepté en conséquence pour sauver son seigneur Boyer. Puis elle sait tromper un imbécile, quand elle met son esprit sur lui...
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