Préface (le Président & le kidnapping)

Étant donné que nous vivons dans un monde
médiocre ou maudit ou en d’autres termes, rien n’est certain, pour en dire
mieux la vérité n’est pas toujours véridique et peut – être sur chaque mille
personne une seule qui pense ou qui est pourvue de la vérité. Ainsi ce roman
dont je prends la liberté de le doter de ma signature authentique est un hymne
à la liberté de penser, d’écrire, de parler, pour en dire à la manière de
Voltaire ‘’HABEAS CORPUS’’. Quoique nous vivions l’époque où les plus grandes
découvertes ont été effectuées, c’est également l'époque la plus féroce, la
plus immorale ou en un mot un monde qui tourne et retourne à l’envers, voulant
retourner à l’homo Sapiens. Mais je prends ma plume vengeresse pour dire aux
jeunes qui sont de la génération montante qu’une ère nouvelle est en train
d’ouvrir sur l’humanité, et de ce faite,
ils doivent tous s’armer de l’étendard de la raison et lumière afin d’être
toujours vainqueur de celle-ci. Si la maison du Verbe à laquelle on devrait donner tous nos crédits n’est pas
certaine, même le Verbe…Comment peut-on dire que nous conjuguons le même Verbe,
et que des guerres se lèvent entre nation et nation. Est ce un Verbe de
divergence … ? Connaissant que la guerre est la pire ennemi de la
civilisation, c’est une boucherie héroïque qui ruine les états et détruit le
vainqueur comme le vaincu. La guerre de la maison du Verbe est plus odieuse
encore. Et cependant, je suis très
optimiste de l’avenir, je veux dire dans le langage de corneille dans
Cinna : « Je suis maître de moi comme de l’univers, je le suis,
je veux l’être. O Siècles ! Oh mémoire ! Conservez à jamais ma
dernière victoire, je triomphe aujourd’hui du plus juste courroux, de qui le souvenir
puisse aller jusqu’à vous ! Soyons amis Cinna, c’est moi qui t’en convie.
Par conséquent, ce roman le « Président & le Kidnapping » ou ses
mots retracent les tares et présentent les repères du monde et ceux d’Ayïti est
tiré des actes barbares que nous faisons chaque jour, retraçant l’énigme
de ce monde. C’est une satire de la guerre, de l’amour courtois, de la
bravoure. C’est également une histoire diplomatique et militaire. En outre,
j’accepte des critiques constructives qui peuvent apporter des pions de
perfectionnement.
Sur ce, je sème un grain qui pourra un
jour produire une moisson…
Extrait:
Christophe le bon roi d’Ayiti
Quiskeya ou Bohio, dont la prouesse nous
enseigne que nous, aussi, devrions être braves et courtois, jugé une cour riche
et royale sur ce régal-jour précieux ce qui est toujours connu par le nom de
Pentecôte. La cour était chez Christophe à la Citadelle du
Cap-Haitien. Quand le repas a fini, la servante amuse les chevaliers et ils ont
été appelés par les dames, les demoiselles, et les filles d’honneurs. Certains
ont indiqué des histoires ; d'autres ont parlé de l'amour, des épreuves et des
douleurs, aussi bien que des grandes bénédictions, qui incombent souvent aux
membres de son ordre, qui était riche et s'épanouissant en ces jours de vieux.
Mais maintenant ses palpeurs sont peu, après l'avoir abandonné presque à un
homme, de sorte que l'amour soit beaucoup abaissé. Pour des amoureux utilisés
pour mériter d'être considéré courtois, braves, généreux, et honorables. Mais aimer
maintenant est des rire-actions, pour ceux qui ne font affirmer aucune
intelligence d'eux qu'ils aiment, et du fait qu’ils se trouvent. Ainsi ils
poussent une moquerie et se trouvent en revendiquant où ils n'ont aucun droit.
Mais laissons ceux qui sont encore vivants, pour parler de ceux de l'ancien
temps. Car, je le prends, un homme courtois, bien que des morts, vaut la peine......
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