Traduction

jeudi 3 octobre 2013

Comment Purifier votre corps avec... du charbon

Purifiez votre corps avec... du charbon !
Lorsque j'étais enfant, nous avions pour chaque bobo ou petit tracas de santé un "remède de grand-mère" qui, nous disait-on, était

l'héritage de traditions familiales et dont l'efficacité avait été prouvée depuis des générations : huile de foie de morue pour fortifier les enfants chétifs, pommade à l'ail contre les verrues, crème de lait anti-coups de soleil, vinaigre de cidre pour les démangeaisons...

Avec l'arrivée des médicaments chimiques à l'efficacité "scientifiquement prouvée" et "médicalement reconnue", ces remèdes se sont raréfiés. Dans certaines familles, ils ont même disparu.
La plupart d'entre nous ne savons plus, par exemple, que faire en 
 as d'intoxication ou d'empoisonnement. Il existe pourtant des gestes simples, que l'on peut faire dans l'urgence, ou de façon préventive, une ou deux fois par an, pour débarrasser son intestin des énormes quantités de substances toxiques (pollutions, métaux lourds, médicaments, bisphénol A...) qui s'y accumulent. Ces gestes peuvent aussi sauver des vies en cas de catastrophes sanitaires (épidémie bactérienne ou nouveaux virus ultra-résistants), ou encore d'intoxications alimentaires ou médicamenteuses, de plus en plus fréquentes.Et l'un de ces gestes, c'est tout simplement de prendre du charbon végétal activé, le purificateur le plus puissant que l'on connaisse aujourd'hui.
Histoire du charbon végétal : sciences et magie noireLorsqu'on parle de charbon, on pense instinctivement aux mines, au train à vapeur, ou au poêle à charbon ... Mais ce « charbon » là est en fait de la houille, un hydrocarbure solide proche du pétrole.
Le « charbon » dont je vous parle n'a rien à voir avec la houille. Il s'agit d'un produit végétal, dont les vertus thérapeutiques sont nombreuses et utilisées de façon immémoriale.

Le papyrus d'Ebers, l'un des plus anciens traité médical parvenu jusqu'à nous, cite déjà la poudre de charbon vers 1550 avant J-C. Mais c'est en France, au XIXème siècle, que les vertus thérapeutiques du charbon végétal ont été scientifiquement prouvées.
En 1813, un chimiste français nommé Bertrand qui travaillait sur l'arsenic depuis des années, démontra les propriétés d’absorption exceptionnelles du charbon. Au cours d'une démonstration publique, ce chimiste de renommée avala sans frémir une cuillère de trioxyde d'arsenic, une dose suffisante pour tuer sur-le-champ des dizaines d'hommes.
Les observateurs sidérés crurent que le bon professeur Bertrand avait complètement perdu la tête et une panique effroyable s'empara de la foule. Après quelques minutes de rappel au calme, le professeur Bertrand poursuivit tranquillement sa présentation sans subir aucun effet de ce poison fatal ! Son secret, il le dévoila peu après. Au cours de ces recherches, il avait découvert que le charbon végétal était un antidote universel capable de pomper n'importe quel poison. Il lui a simplement fallu ajouter un peu de poudre de charbon végétal à l'arsenic afin que ses effets soient complètement annihilés.
En 1831, un pharmacien de Montpellier (TOUERY) réalisa le même tour de prestidigitation scientifique devant l'Académie française de médecine en ingérant 10 fois la dose mortelle de strychnine qu'il avait soigneusement enrobée de poudre de charbon végétal.
Pendant des années, le charbon a été utilisé dans de nombreux domaines (assainissement de salles d'opération médicale, produits de purification de l'eau...) et bien souvent aussi pour un usage thérapeutique traditionnel au sein des familles qui en connaissaient ses vertus et savaient l'utiliser.
Mais alors que ses bienfaits thérapeutiques semblaient peu à peu tomber dans l'oubli, le charbon végétal a connu un renouveau depuis une dizaine d'années. Il a fait l'objet de centaines d'articles et de dizaines de milliers de références scientifiques à travers le monde. Toutes ces recherches ont confirmé que le charbon activé absorbe au sein de l'intestin tous les poisons et toutes les toxines bactériennes mieux que n'importe quelle autre substance.
Il est sans aucun doute, le décontaminant le plus efficace et le moins cher. Il est particulièrement utile dans les protocoles de désintoxication aux métaux lourds. Mais son utilisation dépasse largement le cadre du traitement d'intoxications sévères. Il peut être extrêmement utile et efficace dans de nombreuses situations de la vie quotidienne et peut, dans certains cas, éviter des drames.
Un produit indispensable dans votre pharmacie familiale
Pour obtenir du charbon végétal activé, il faut passer successivement par un processus de carbonisation puis d'activation.
L'étape de carbonisation consiste à chauffer du bois ou de la tourbe entre 600°C et 900°C, à l'abri de l'air, ce qui, par ailleurs, garantit l'absence de pollution liée à sa fabrication. La matière carbonisée est ensuite concassée sous forme de granules ou de poudre pour être de nouveau calcinée entre 700°C et 1100°C et soumise à des vapeurs d'eau, d'air ou de gaz oxydants.
Ce procédé d'activation permet de faire apparaître des micro-pores capables "d'adsorber", c'est à dire d'emprisonner puis d'excréter hors de votre corps toutes les substances étrangères qui envahissent votre organisme, surchargent vos organes vitaux (reins, foie, intestins) et empêchent leur fonctionnement normal.
Le charbon végétal agit tel un purificateur. Il est d'une efficacité redoutable dans des situations d'urgence (intoxications sévères, empoisonnements, piqûres d'insectes, morsures de serpents, araignées, tics...) et c’est encore sa principale utilisation dans le milieu hospitalier qui y a recours quand les médicaments ne peuvent rien. Mais ce produit simple et naturel peut aussi avoir une efficacité pour traiter des petits maux du quotidien.
Voici une liste, non exhaustive, de toutes les indications thérapeutiques du charbon végétal qui ont été validées 
scientifiquement :
Intoxications médicamenteuses ou alimentaires
Troubles digestifs : mauvaise haleine (halitose), hoquet chronique, douleurs abdominales, flatulences, diarrhées, touristaProblèmes de foie : cholestérol, triglycérides
Morsures de serpent ou piqûres d'insectes
O.R.L. et hygiène dentaire 

Certains recommandent l’utilisation du charbon actif pour la détoxification des métaux lourds. Mais il faut savoir que les métaux lourds entrés de longue date dans l'organisme sont piégés dans les graisses corporelles, inaccessibles au charbon végétal qui ne passe pas dans le sang. En revanche, il produit bien ses effets purificateurs sur toutes les substances chimiques que nous ingérons quotidiennement et qui peuvent se maintenir dans l'intestin.
C'est pourquoi il est important d'utiliser le charbon végétal en cure pour détoxifier régulièrement l'organisme.
Comment utiliser le charbon végétal activé
Dans ma famille, on utilise le charbon 3 à 4 fois par an pour se purifier des substances nocives que nous ingérons malgré toutes les précautions que l'on peut prendre.
Le protocole pour une cure de drainage est le suivant :
2 cuillères à soupe à chaque repas diluées dans la moitié d'un verre d'eau pendant 15 jours puis 3 cuillères à soupe par jour pendant le mois qui suit si l'on veut drainer plus profondément les cellules de son organisme.
Pour un enfant, les cuillères à soupe peuvent être remplacées par des cuillères à café et le protocole de 15 jours est suffisant.
Pour ceux qui auront du mal à boire le charbon au verre et pour éviter de vous noircir les dents, utilisez une paille (la noirceur ne reste évidemment pas sur les dents, il vous suffira de vous rincer la bouche pour la faire disparaître).
Parmi les autres indications thérapeutiques du charbon végétal, certaines sont particulièrement d'actualité avec l'été qui arrive : tourista, intoxications alimentaires, piqûres d'insectes, morsures d'araignées et de tiques... Voici quelques recettes familiales qui vous permettront, je l'espère, d'éviter bien des douleurs et désagréments :
Tourista (la diarrhée du voyageur) et autres intoxications alimentaires :
2 cuillères à soupe de charbon activé en poudre dans un verre d'eau froide toutes les 4 ou 8 heures jusqu'à ce que la diarrhée soit sous contrôle.
Piqûre d'abeille :
Pour un soulagement immédiat : mélanger une cuillère à thé de charbon avec un peu d'eau afin d'obtenir une pâte et l'appliquer directement sur la piqûre .
Pour un soulagement durable : appliquez une compresse. 
Pour des piqûres multiples : versez 2 grands verres de charbon en poudre dans une baignoire et y baigner la personne pendant environ 30 minutes.
Piqûre de fourmi, de moustique
Humidifier un morceau de gaze d'un sparadrap,
Saupoudrer du charbon avec une petite cuillère jusqu'à ce que la gaze devienne noire et appliquer sur la piqûre.
Morsure d'araignée, de tique :
Appliquer rapidement une compresse ou baigner la personne dans une eau charbonnée.
Changer souvent la compresse, toutes les 30 minutes pendant les 8 premières heures puis toutes les 2 heures.
Laisser ensuite un intervalle de 2 à 8 heures entre les compresses jusqu'à guérison complète. 
Le principe est le même à chaque fois : le charbon absorbera les toxines, poisons, et même les bactéries qui pourraient vous infester (surtout dans le cas des morsures de tiques). 
Où vous procurer du charbon végétal activé de qualité.
En général, le charbon activé que vous trouverez dans les boutiques sérieuses provient du laboratoire SFB, qui est spécialisé depuis plus de 30 ans dans la fabrication de ce produit. Ce laboratoire fabrique un charbon végétal dont la pureté et la capacité d’adsorption sont remarquables.

Ils proposent le charbon végétal activé sous plusieurs formes : en gélules, en poudre, en comprimés. Ma préférence est toujours allée vers le charbon en poudre car ses utilisations sont multiples. Pour vous en procurer, rendez-vous ici (lien cliquable).
Vous pouvez également trouver d'autres marques de charbon végétal telles que Boutique Nature et Super Diet qui sont également de bonnes références.
A votre santé !
Jean Marc Dupuis

SDPI, votre sante plus....!!!!

Les cerises seraient donc bonnes pour prévenir les maladies cardiaques. Elles font baisser le niveau d'inflammation des artères, ce qui a été démontré par une étude chinoise

Cerises : bientôt un vieux souvenir:
Je me régale de cerises depuis une semaine mais, à vrai dire, ma joie serait plus grande encore si leur prix n'était pas exorbitant.






Cette année, nous devons à nouveau débourser 4 à 5 euros le kilo. La bigarreau origine France vaut par exemple 4,95 euros le kilo en moyenne. Qui peut encore payer ça ? Peu de monde apparemment : d'après les statistiques officielles, une famille française achètera cette année 2,5 kilos de cerises, ce qui représente 600 g par personne. Pour l'année !!
600 g de cerises, c'est ce que je mangeais étant petit en vingt minutes quand je passais par le cerisier de mon grand-père. C'était normal. 
Avant l'arrivée de l'euro, jamais je n'aurais dépensé 2 euros pour un kilo de cerises (13 francs, alors que le kilo est aujourd'hui à plus de 30 francs). 
Où passe l'argent ? Certains expliqueront que ce sont « les centrales d'achat », la « grande distribution », etc, qui font monter les prix. Pour ma part, j'ai l'impression de payer encore plus cher dans les épiceries indépendantes. Et les marchés ne sont pas si bon marché non plus. 
Nos enfants auront-ils encore les moyens d'acheter des cerises ?
Cette année, la récolte a pourtant été correcte. Elle est en légère baisse par rapport à la moyenne des cinq dernières années (- 7 %), mais en hausse de 32 % par rapport à 2012. (1) Il y a donc une relative abondance de cerises sur les marchés. 
De plus, les producteurs se plaignent de l'arrivée en masse de cerises turques, qui ont le même aspect et le même goût mais coûtent beaucoup moins cher (1 euro le kilo chez le grossiste), ce qui, selon eux, « tire les prix vers le bas » (2), mais devrait aussi rendre les cerises plus accessibles, bien que ce ne soit pas vraiment bio-responsable. 
Malheureusement, année après année, les prix semblent monter inexorablement. Je commence à craindre que, dans quinze ans, nos enfants ne pourront plus en acheter du tout. 
Quelles vertus des cerises pour la santé ?
Notre seule consolation est que la cerise est surtout bonne pour se faire (énormément) plaisir, mais qu'elle n'est pas indispensable pour la santé.
Elle a toutefois plusieurs avantages notables : elle est peu calorique (100 g de cerises contiennent 86 g d'eau), et sa forte teneur en eau en fait un aliment très bourratif. En termes scientifiques, elles ont une densité calorique de 0,5 sur 9 et un indice de satiété de 4,5 sur 5. (3) 
C'est donc un bon fruit à consommer pour rester mince et éviter le diabète : la charge glycémique d'une portion de cerises (100 g) n'est que de 7 sur 100. 
Elles est aussi riche en potassium, ce qui limite la rétention d'eau et aide au traitement des maladies auto-immunes neuro-dégénératives et des maladies des tissus conjonctifs. 
Notons aussi la forte teneur des cerises en anthocyanes, des pigments de la famille des polyphénols qui ont une puissante action antioxydante. Les cerises seraient donc bonnes pour prévenir les maladies cardiaques. Elles font baisser le niveau d'inflammation des artères, ce qui a été démontré par une étude chinoise. (4) 
Les griottes aident à dormir
Fait remarquable et peu connu : une variété de cerises, les griottes, souvent utilisées pour les jus, par exemple dans les bières belges à la cerise (kriek), contiennent de la mélatonine, l'hormone du sommeil. Elles contribuent donc à vous donner un bon sommeil réparateur.
Des chercheurs anglais l'ont établi de manière formelle. Ils ont réparti des jeunes adultes en bonne santé en deux groupes et les ont invité à boire un certain breuvage chaque soir pendant 7 jours consécutifs. Dans un cas, il s'agissait de jus de cerises griottes, et dans l'autre d'un simple placebo. Résultat : le taux de mélatonine était plus élevé et la qualité du sommeil meilleure dans le groupe qui a bu le jus de cerises (5). 
Il serait donc malgré tout très dommage que la cerise disparaisse complètement de la vie des générations futures. Une idée : que chaque lecteur de Santé Nature Innovation qui a un lopin de terre y plante un cerisier ! 

A votre santé, 
Jean-Marc Dupuis

SDPI, votre sante-plus...!!!

La musique qui guérit:La musique semble avoir des effet magiques puissants qui guerissent, un prodigieux moyen d'aller mieux


Un prodigieux moyen d'aller mieux:
Nous n'avons pas la télévision à la maison mais j'ai réalisé le mois

dernier mon rêve d'acheter une chaîne hi-fi haut de gamme. Platine CD, ampli, deux enceintes « colonnes », le tout m'a coûté près de 2000 euros (1953 euros pour être précis), incluant toutes les remises que j'ai pu négocier.
Cela fait cher la chaîne hi-fi mais j'économisais depuis des années. En effet, je considère la musique comme un élément central de la vie. Bien choisir sa musique, et l'écouter dans de bonnes conditions, permet de guérir plusieurs problèmes de santé, mais aussi de vivre plus apaisé, d'avoir plus d'énergie, d'être plus agréable avec les autres, de prendre de meilleures décisions, et même d'être plus intelligent !
La musique qui guérit
J'ai envoyé il y a quelques mois aux lecteurs de Santé Nature Innovation un article intitulé « La musique qui guérit » par Pierre Lance.
En effet, il est aujourd'hui prouvé que la musicothérapie (soigner avec la musique) permet de :
1) guérir de certains problèmes psychiques : certaines musiques peuvent réduire l'anxiété, l'insomnie, la dépression, l'autisme, la schizophrénie et améliorer l'humeur ; (1)
2) guérir de certains problèmes physiques : certaines musiques peuvent améliorer la qualité de vie des personnes souffrant de la maladie de Parkinson, soulager les douleurs, augmenter les performances sportives, réduire les nausées et les vomissements postopératoires, diminuer les symptômes de la sclérose en plaques, améliorer l'état des personnes souffrant de problèmes cardiaques et de la fibrose kystique ; (2)
3) Des chercheurs ont même constaté, en 1993, que les enfants qui passaient un test de QI après avoir écouté une sonate de Mozart avaient un meilleur score. La musique les avait rendus plus intelligents. Cette découverte a été publiée dans la revue scientifique Nature. (3)
Expériences médicales réelles avec la musique
Voici un exemple concret des effets de la musique, rapporté par le neurologue britannique Oliver Sacks : 
« Un de mes patients, le docteur P., avait perdu la capacité d’identifier les objets, même les plus communs, alors que son acuité visuelle était parfaite. Il ne pouvait pas reconnaître le gant ou la fleur que je lui présentais ; un jour, il prit même sa femme pour un chapeau ! Cette situation était évidemment très handicapante, mais il découvrit qu’il pouvait se livrer à ses tâches domestiques dès lors qu’il les organisait sous forme de chansons. Ainsi avait-il une chanson pour s’habiller, une autre pour ses repas, sa toilette, etc. Une chanson pour chaque geste de la vie quotidienne. »« Certains de mes patients, victimes d’une attaque cérébrale ou souffrant d’un Alzheimer, sont incapables d’enchaîner des gestes présentant une certaine complexité, comme s’habiller. Dans ce cas précis, des paroles en vers avec des rimes peuvent agir de façon mnémonique (« Un, deux, trois, j’enfile mes bas », par exemple). » (4) 
Le castrat Farinelli sut guérir par son chant le roi Philippe V d'Espagne, qui souffrait de dépression nerveuse. Aucune médecine n'était venue à bout des accès de mélancolie qui l'empêchaient d'assumer ses responsabilités royales. Lorsque Farinelli chanta pour lui pour la première fois, il reprit goût à la vie. Et le roi le fit ainsi chanter chaque jour, recouvrant ainsi peu à peu la santé. 
Comment la musique agit
Pour expliquer cet effet de la musique, il faut revenir au fonctionnement de notre cerveau.
Bien que nous ayons l'impression d'être en train de penser en permanence à quelque chose, la réalité est que les pensées conscientes qui nous remplissent la tête ne sont la plupart du temps que des choses simples, frivoles, et sans utilité. « Quelle belle voiture ! » ; « J'ai trop mangé » ; « Zut, je dois travailler » ; « Il m'énerve celui-là » ; « Ce siège est trop dur » ; « Je m'ennuie... »
Parfois, lorsque nous nous concentrons, nous pouvons mener une réflexion plus complexe, comme résoudre un problème de mathématiques.
Mais même la plus compliquée des équations de Einstein n'est qu'une opération mentale simple et grossière à côté des incroyables calculs que notre cerveau exécute, en permanence, sans que nous en soyons conscients, pour nous permettre par exemple :
de circuler à pied dans une foule mouvante en évitant tous les obstacles et sans tomber ; de parler de façon intelligible, en articulant tous les sons comme il faut ; de frapper dans une balle et de marquer un but ou un panier. Prenons le cas du cerveau du joueur de billard. Il est capable, et c'est tout à fait stupéfiant, de déterminer comment frapper dans une boule avec l'angle, la force, le mouvement rotatif nécessaires pour la mettre dans le trou, après plusieurs rebonds. Pourtant, ce même joueur ne pourrait jamais décrire son geste avec des mots, et encore moins poser les équations mathématiques décrivant la trajectoire de la boule. 
On utilise souvent le mot d'instinct, pour décrire ce prodige, mais c'est parce que l'on ignore souvent que la partie inconsciente de l'activité de notre cerveau est infiniment plus riche et développée que celle dont nous avons conscience. Ainsi, notre cerveau contrôle en permanence nos processus physiologiques. Il commande la digestion, le système immunitaire, le fonctionnement des reins, du foie, de la rate et du pancréas... sans que nous en ayons la moindre conscience. Même en faisant un intense effort sur nous-mêmes, nous ne saurions maîtriser par exemple les mouvements de notre estomac, ou ordonner à notre système immunitaire de détruire tel microbe ou telle cellule cancéreuse (enfin, certaines spiritualités affirment qu'elles en sont capables, mais disons que cela ne paraît pas possible à la plupart d'entre nous).
C'est là notre drame : notre cerveau conscient, les pensées conscientes que nous sommes capables de générer volontairement dans notre tête, n'ont que très peu d'influence sur les fonctions complexes de notre corps. Bien que ce soit notre cerveau qui les coordonne, notre volonté intervient très peu. Plus surprenant encore : notre volonté en elle-même n'arrive même pas à agir sur nos sentiments ! Si nous sommes en colère, timide, jaloux, impatient, amoureux, déprimé, nous avons beau nous répéter à nous-même « Arrête tout de suite ! » ou « tu dois changer maintenant ! », ça ne sert en général à rien.
Et c'est là que nous revenons à la musique, et à son incroyable pouvoir.
La musique plus puissante que notre volonté
Alors que, depuis des millénaires, les hommes ont constaté comme nous que leur volonté consciente ne peut rien, ou presque rien, pour guérir une maladie du corps ou de l'âme, ils ont constaté qu'il en allait autrement pour les sons. 
Le simple fait de taper dans les mains peut modifier l'état d'esprit d'une personne, provoquant une excitation soudaine, l'envie (le besoin !) de danser par exemple, ou l'exaltation si toute une foule se met à applaudir devant vous. 
Mais les effets de la musique vont plus loin, beaucoup plus loin. Jouer certaines notes, dans un certain ordre, a le pouvoir de provoquer joie, tristesse, détente, agressivité, rage, rire, espoir, inquiétude, je pourrais continuer à l'infini.
La musique, pénétrant directement dans les circuits neuronaux les plus complexes et les plus inconscients de notre cerveau, influence notre état d'esprit mais peut aussi réguler directement notre respiration, notre rythme cardiaque, nos fonctions motrices, et peut-être même agir sur les fonctions comme la digestion, l'immunité, etc., ce qui expliquerait ses effets thérapeutiques. 
Les Egyptiens connaissaient l'harmonie des corps et les soignaient par la musique. Ils savaient que la beauté des arts contribuait à rendre au malade sa propre beauté, manifestation de l'harmonie retrouvée. La maladie était comprise comme un déséquilibre vibratoire que la musique pouvait à elle seule corriger. 
Chez les Grecs, la musique était enseignée en même temps que la médecine. Pythagore, philosophe et mathématicien grec, créa par les sons toute une méthode qu'il nommait « purification » afin de soigner les malades. Pour cela, il inventa des remèdes qui devaient réprimer ou expulser les maladies du corps comme celles de l'âme. Il composait des musiques destinées à corriger les états de l'âme. Le philosophe latin Jamblique, dans sa Vie de Pythagore, rapporte :« Par l'usage des seuls sons musicaux, sans accompagnement de paroles, Pythagore effectuait la guérison des passions de l'âme ainsi que de certaines maladies. »
Les Chinois, les Hindous signalent aussi par leurs témoignages les effets curatifs du son et de la musique. (la suite ci-dessous)
Annonce spéciale 
La musique qui guérit, par Pierre Lance Il y a déjà longtemps que la musique est utilisée à des fins thérapeutiques. Un des grands pionniers en ce domaine fut le regretté Dr Alfred Tomatis (1920-2001), que j’ai eu l’avantage de connaître et qui fut le père de la méthode APP (Audio-Psycho-Phonologie), plus connue sous le nom de «Méthode Tomatis»...
La musique semble avoir des effet magiques
L'effet de la musique sur l'homme est si puissant que les hommes l'attribuèrent d'abord aux esprits ou aux dieux. La musique est toujours, et avant tout, religieuse : religieuse parce que permettant à l'homme de communiquer avec un monde invisible.
Dans la Bible, le jeune berger David est appelé au chevet du roi Saül, souffrant : « David fut appelé auprès du roi Saül pour calmer ses états de crise. Car l'esprit du Seigneur s'était retiré de Saül et un mauvais esprit lui causait des terreurs... David pour le calmer prenait la cithare, et il en jouait. Alors Saül allait mieux, et le mauvais esprit s'écartait de lui. » (5)
Mais la musique est aussi religieuse au sens propre du terme, qui est de « relier » les hommes entre eux. Les hommes éprouvent souvent les mêmes sentiments en écoutant une même musique. Ils ont l'impression de « communier », de ne plus former qu'un seul corps, et cela est vrai des moines chantant du grégorien dans un monastère comme des participants d'une moderne rave-party dans un champ agricole breton, des soldats d'une armée marchant au son du fifre et du tambour, ou encore d'une tribu africaine dansant autour d'un tam-tam.
Avec le temps, la musique se perfectionna. Les hommes apprirent à combiner de mieux en mieux rythmes, méetlodies (succession de notes formant une phrase musicale), harmonie (son produit par plusieurs notes jouées en même temps), nuances (fort ou doux) et timbres (sons particuliers des instruments, produisant des effets différents), pour produire les effets les plus variés sur leur auditoire et sur eux-mêmes.
A votre sante par la musique...!!!
Jean-Marc Dupuis


SDPI, votre bien-être de l’âme  du corps et de l'esprit. Une nouvelle  approche pour un nouveau modèle. 

Les pires aliments du monde





Le top des aliments les plus répugnants
Une bonne santé repose d'abord sur une bonne alimentation. 
 ourquoi alors cette habitude qu'ont de nombreux peuples de manger également des aliments qui n'apportent rien de spécial à la santé, mais qui sont en revanche répugnants d'aspect ? 
C'est qu'ils servent de marqueurs culturels indiquant qui fait partie du groupe et qui n'en fait pas partie. Souvent forts en goût ou en odeur, ils peuvent parfois contribuer à 
 onner une odeur corporelle particulière à une population, créant ainsi chez elle un sentiment de familiarité et de proximité, et un moyen de se reconnaître inconsciemment. 
Ceux qui font partie du groupe, généralement, adorent cette nourriture et ceux qui n'en font pas partie éprouvent des hauts-le-cœur rien qu'à y penser. Il faut noter que ces aliments sont bien souvent gluants ou moisis, ce qui 
 ugmente encore le sentiment de répulsion des non-initiés, qui non seulement n'en mangent pas, mais ne voudraient même pas que ces aliments entrent dans leur maison. C'est bien sûr le cas des escargots de Bourgogne, des cuisses de grenouilles et de nombreux fromages Français. 
Le grand plaisir est d'ailleurs de se donner en spectacle devant des étrangers : on poussera des « Oh » et des « Ah » de joie devant un Camembert au lait cru bien pestilentiel, surtout quand il y a un 
 ublic. On assure trouver l'odeur parfaitement suave, tout en se poussant du coude et en riant en voyant la mine épouvantée des Anglais, ou des Japonais assistant à la scène. Car soyons honnêtes, au fond de nous-mêmes, nous savons bien que leur réaction est tout à fait normale. 
Boissons atroces
De nombreux peuples se font une fierté de consommer des boissons atrocement amères ou au mauvais goût. Depuis 2000 ans, les Grecs ajoutent exprès de la résine de pin dans leur vin blanc ou rosé pour fabriquer du « Retsina », si âpre que les étrangers peinent à l'avaler. 
Anglais et Irlandais boivent des sortes de « bières », appelées « ales » et des « stouts », dont certaines sont absolument imbuvables pour un étranger tant elles sont amères. 
Chaque peuple a aussi sa liqueur si forte en alcool ou en goût qu'elle effraye les nouveaux venus. 
En boire fait partie d'une sorte de rite initiatique. Vous êtes accepté dans le groupe si vous y parvenez, et si vous faites mine d'apprécier. 
Les pires aliments du monde
J'ai réuni quelques-uns des pires aliments consommés dans le monde : 
Le poulpe vivant
C'est une spécialité coréenne et japonaise : le poulpe est sorti vivant d'un aquarium et servi directement sur une assiette. Il est alors très rapidement découpé au couteau pour former des bouchées encore frétillantes. 
Sentir la tentacule s'entortiller autour de la langue serait un des grands plaisirs de ce plat raffiné. Certains aventuriers rapportent toutefois avoir connu quelque inquiétude en ressentant les ventouses s'accrocher dans leur œsophage et provoquer une sensation d'étouffement... 
La tête de mouton (avec les yeux)
C'est une délicatesse dans de nombreuses régions du monde, de l'Asie Centrale au Nord de l'Europe, en passant par la Méditerranée. La cervelle et les yeux sont particulièrement appréciés. Les vrais amateurs préféreront leur tête de mouton entière dans l'assiette, et laisseront le crâne parfaitement nettoyé, mâchoires et dents apparentes. 
Le boodog mongol
Les nomades de Mongolie, dépourvus de casseroles en inox, ont découvert il y a longtemps un moyen fort ingénieux de cuire une chèvre entière, ou parfois une marmotte (mais celles-ci ont des puces qui donnent la peste bubonique, donc si vous avez le choix, préférez la chèvre). 
Après avoir décapité l'animal, l'avoir suspendu la tête en bas, l'avoir saigné et lui avoir brisé les pattes, vous lui insérez des pierres brûlantes dans tous les orifices et cavités imaginables, y compris entre les os des pattes et la peau. Passez ensuite une torche sur sa peau pour brûler les poils, jusqu'à la cuisson désirée. C'est l'authentique barbecue mongol. 
Le fromage de Sardaigne interdit par la loiLe Casu Marzu est un fromage de Sardaigne, qui a dû être interdit par les autorités. Littéralement « fromage pourri », il est délibérément préparé pour servir de nid de larves provoquant pourriture et putréfaction. A maturité, il grouille littéralement d'asticots. 
Aussi appelé « fromage à mouches », son goût est exactement celui que vous imaginez, avec une consistance visqueuse dûe aux larves et à la bave qu'elles laissent derrière elles une fois qu'elles ont digéré le fromage. Le Casu Marzu est, bien entendu, toxique. 
Le baluge des Philippines
Il s'agit d'un œuf de poule fertilisé et couvé quinze à seize jours, c'est-à-dire la moitié du temps avant l'éclosion. Ouvrez l'œuf, sortez le fœtus de poulet et fourrez-le dans votre bouche, entier, et donc avec tous ses membres à moitié formés : griffes, yeux, crâne, plumes et vaisseaux sanguins visibles à travers la peau translucide. Selon les Philippins qui consomment du baluge, la partie désagréable de la chose est que vous finissez le repas avec des plumes coincées entre les dents. 
À essayer en dernier (cela pourrait vous tuer)
D'abord, trouvez un nid de chauve-souris et capturez-les. 
Jetez-les vivantes dans de l'eau ou du lait bouillant. 
Retirez-les et faites-les rôtir. 
Coupez-les en morceaux et faites-en une pâte avec des herbes et des épices thaïs. Vous pouvez aussi en faire une soupe. 

Les chauve-souris font partie de la cuisine traditionnelle de Thaïlande, de certaines régions de Chine, et de l'Île de Guam dans le Pacifique, mais elles sont notoirement considérées comme porteuses de maladies. Mieux vaut donc les mettre en bas de la liste des recettes à essayer. 
A votre santé ! 
Jean-Marc Dupuis 


Avec SDPI, votre sante et votre développement de soi...une nouvelle approche...!!!

La longue liste des aliments interdits






Se régaler sans gluten
Nous arrivons à la fin de notre série sur les méfaits du gluten, et 
 'attaque « comment manger sans gluten » ou même « comment se régaler sans gluten ». 
Avant d'entrer dans le vif du sujet, permettez-moi un court rappel surSanté Nature Innovation : ce que vous êtes en train de lire est une lettre d'information gratuite, qui vous est 
 pportée quasiment  ussi souvent que vous voulez. Je fais mon maximum pour vous informer mais je suis aussi obligé de rester généraliste, pour ne pas ennuyer les lecteurs qui ne se sentent pas concernés. Si vous êtes touché personnellement par le sujet sur lequel j'ai écrit, vous ne pouvez pas vous contenter de mes lettres. Vous passerez à côté de choses importantes, peut-être vitales pour vous. Vous pourriez aussi mal influencer vos proches, sans le vouloir, ou les laisser avec une information incomplète, et donc dangereuse. 
Essayez donc par tout moyen d'aller plus loin : sur Internet d'abord mais aussi en librairie. La plupart des sujets de santé sont couverts par des spécialistes, dans des publications mensuelles ou deslivres, qui vous en diront cent fois plus que moi. Sur le gluten, il y en a encore des tonnes à raconter et c'est pourquoi les personnes intéressées par le sujet doivent acheter le livre du nutritionniste Julien Venesson « Gluten, comment le blé moderne nous intoxique » qui vient de paraître. Beaucoup de vous connaissent Julien Venesson, qui est très impliqué dans le magazine Alternatif Bien-Être. Il est spécialiste du gluten et dispense des formations à destination des professionnels. Son livre coûte 15,70 euros (une misère !) et vous dit tout sur les tests de sensibilité au gluten, les tests d'intolérance alimentaire, les maladies liées au gluten (physiques, mais aussi mentales), comment les guérir, etc., etc. Inutile de le répéter mais je le fais quand même, son livre contient 100 fois plus de choses que les lettres que je vous ai envoyées sur le sujet, qui restent malgré tout une forme de « vulgarisation ». 
Pour commander le livre de Julien, consultez ce lien cliquable. Vous pourrez ensuite revenir à ma lettre où je vais donner de indications larges (et nécessairement incomplètes !) sur le régime sans gluten. Je n'essayerai pas de vous faire croire que, en trois pages de Jean-Marc Dupuis, vous pouvez en savoir autant qu'en 200 pages de Julien Venesson ou d'un livre de recettes sans gluten. 
La longue liste des aliments interdits
Le gluten se trouve dans les céréales : blé, avoine, orge, seigle, principalement, qu'on mémorise grâce au truc du sabot. Les lettres du mot sabot correspondent à la première lettre du nom des céréales riches en gluten les plus répandues : 
S : Seigle
A : Avoine
B : Blé
O : Orge
T : Triticale (hybride de seigle et de blé) 

La liste complète des céréales contenant du gluten se trouve au chapitre 3 du livre de Julien Venesson. Vous trouvez donc du gluten dans le pain, la farine, les biscuits, les gâteaux, pâtisseries, pâtes, hamburgers, pizzas, viande et poissons panés, croquettes de pomme de terre, saucisses, sauces, bouillon cube, assaisonnements, vinaigre de malt, mais également dans les préparations et épaississants contenant de la farine ou de l'amidon (ce qui est presque toujours le cas). 
En pratique, vous serez donc obligé non seulement d'éviter les aliments ci-dessus, mais aussi de renoncer aux plats cuisinés et légumes en conserve à l'étuvée, qui contiennent presque toujours du gluten ou des traces de gluten. 
Concernant les aliments à éviter donc, il y en a tant qu'une angoissante question se pose : « Mais de quoi vais-je me nourrir, alors ?? » 
Comment se régaler sans gluten
C'est très simple ! Caviar, foie gras, homard, saumon fumé et crustacés à tous les repas ! Le tout arrosé de Champagne ou d'un bon Château-Lafite. 
Non, je plaisante bien sûr. Mais c'était pour souligner un point essentiel : les aliments les plus savoureux, raffinés, forts en goût, ne contiennent la plupart du temps pas de gluten. Ce qui est l'excellente nouvelle qui décidera, je l'espère, un maximum de personnes à tenter, au moins pour un temps (12 semaines) le régime sans gluten pour observer si leur santé et leur niveau d'énergie s'améliorent (ce qui se passera dans de nombreux cas). 
Quand vous y réfléchissez, la farine et l'amidon, ça n'a pas de goût. Les aliments riches en gluten n'en ont pas beaucoup non plus. Ce qui leur donne du goût, c'est le sucre qu'on y rajoute et le goût de grillé qu'on obtient en les faisant cuire (croûte du pain, viennoiseries, caramélisation...). Mais si vous avez suivi ma récente lettre sur le vieillissement, vous savez que ce goût de grillé est le signe de la présence de protéines glyquées, qui sont très mauvaises pour la santé car elles font vieillir la peau, les artères, et les organes vitaux (yeux, reins, etc.). 
Se nourrir sans gluten, c'est donc manger des fruits et légumes frais, des viandes, charcuteries artisanales, des œufs, du poissons et des fruits de mer, des huiles, des légumes secs, des fruits secs et noix de toutes sortes (noix de Grenoble, noisettes, amandes, noix du Brésil...), du beurre, du fromage, des cacahuètes si vous n'êtes pas allergique. 
Bien entendu, vous avez sans doute l'habitude de consommer tous ces produits accompagnés de produits contenant du gluten. Mais croyez-en mon expérience, on se fait très bien à manger de la viande accompagnée d'une salade verte ou de haricots verts plutôt que de pâtes, ou du fromage et de la charcuterie sans pain. 
D'autre part, il existe malgré tout plusieurs aliments sans gluten riches en glucides et donc bourratifs, pour accompagner vos repas si vraiment vous mourrez de faim : pomme de terre, riz, maïs, etc., que je ne conseille cependant pas car leur index glycémique est généralement élevé (en manger équivaut presque à croquer des morceaux de sucre tant ils se transforment vite en glucose dans votre estomac, et font monter votre taux de sucre sanguin). Si vous en consommez, privilégiez le riz basmati demi-complet, les patates douces et le sarrasin, qui sont des aliments intéressants si vous pratiquez une activité physique régulière. 
Vous avez de plus toute une gamme de produits alimentaires inhabituels, et qui sont essentiellement vendus aux personnes mangeant sans gluten : quinoa, millet, produits à base de soja pour les plus courants. 
Mais attention, ne tombez pas dans le travers fréquent consistant à vouloir remplacer votre pain par du pain sans gluten, vos pâtes par des pâtes sans gluten, vos pâtisseries par des pâtisseries sans gluten, etc. 
Une erreur regrettable, fréquente et coûteuse
C'est en effet une erreur très fréquente commise par les débutants du régime sans gluten. Le gluten, comme on l'a dit, ce sont des protéines qui permettent aux pains, brioches et gâteaux de prendre un aspect moelleux, gonflé et croustillant. C'est grâce au gluten que le pain est bon à manger. 
Pain, pâtisseries et biscuits sans gluten sont aujourd'hui vendus dans le commerce mais ils sont très mauvais et horriblement chers. Pour moi, c'est à la limite de l'arnaque. Quand vous commencez un régime sans gluten, la première étape est simplement de vous convaincre, comme j'ai essayé de le faire dans la partie précédente, que vous n'avez pas besoin de pain, pâtes, gâteaux et biscuits pour vivre. 
Les aliments riches en nutriments essentiels, bons pour la santé et bons au goût sont pour la plupart sans gluten de toute façon. Il est vrai que nous avons l'habitude, solidement ancrée depuis des dizaines de générations, d'avoir toujours du gluten à notre table. Mais le fait est que ce n'est absolument pas nécessaire. Manger sans gluten est donc avant tout une question de modification psychologique, un changement dans la manière de voir la vie et l'alimentation. 
La preuve : beaucoup d'entre vous sont persuadés que le meilleur petit-déjeuner (au goût) consiste à manger des viennoiseries avec du café au lait, ou alors des céréales avec un jus d'orange et un bol de Nesquik pour les enfants. 
Et bien je prétends que vous vous régalerez bien plus, et vous vous sentirez beaucoup mieux, et vos enfants aussi, si vous choisissez plutôt de vous préparer pour votre petit-déjeuner un beau plateau avec : 
un demi-avocat avec de l'huile d'olive, jus de citron, sel et poivre ; deux œufs à la coque ; une banane, une pomme, ou une orange ; un thé vert ; et que vous complétez avec des noix, amandes, noisettes et des pruneaux ou du chocolat noir si vous avez encore faim. 
En ce qui me concerne, je vais encore beaucoup plus loin dans les aliments inhabituels (en France) pour le petit-déjeuner car je mange régulièrement aussi au petit-déjeuner : 
une tomate en rondelles bien assaisonnée, avec de la mozzarella, du basilique, de l'huile de colza, de l'huile d'olive et du vinaigre de Modène ; des olives ; une tranche de jambon cru des poissons fumés (hareng, maquereau, etc.) une cuillère de miel voire de peanut-butter (beurre de cacahuètes) des aubergines ou des poivrons à l'huile une omelette aux champignons, oignons, lardons, poivrons... 

Mais il est sans doute utile de préciser que je travaille beaucoup, ce qui me prend beaucoup d'énergie, et que je suis souvent dans des régions froides et pluvieuses, où l'on mange forcément plus. D'autre part, je circule par tous les temps à vélo et mon loisir préféré est la marche à pied, notamment en montagne quand j'en ai l'occasion. 

Tout cela pour dire que, en commençant à manger sans gluten, la première chose dont vous vous apercevrez (outre de vous sentir mieux, très probablement), c'est que vous mangerez des choses beaucoup plus variées et goûteuses. 
Si vous avez peur de manquer d'imagination pour vos repas, le livre de Julien Venesson contient de nombreux trucs pour manger sans gluten, concrètement, sur le long terme. 

Mais j'espère vous avoir déjà convaincu de l'intérêt, et de l'agrément, d'essayer. 
A votre santé ! 
Jean-Marc Dupuis

SDPI, le jalon du futur....

Pourquoi France Info diffuse-t-elle ces contre-vérités ?

Un cas d'école de désinformation médicale à grande échelle
Une inquiétante information tourne en boucle sur France-Info depuis mardi 24 septembre au matin : 
« Un Français sur cinq est touché par un excès de cholestérol. Ce fléau ne cesse d'augmenter depuis plusieurs années. Ce sont les résultats d'une étude publiée mardi dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH). 
« Les chiffres montrent que les plus touchées sont les personnes âgées entre 45 et 65 ans avec plus 30 % de personnes atteintes. » 
« Autre enseignement, le nombre de Français suivant un traitement contre l'excès de cholestérol est faible. Seuls 12,5 % des 18-74 ans suivaient un traitement adapté au moment de l'étude. » 
« De graves conséquences »

« L'excès de cholestérol dans le sang ne provoque aucun symptôme sur le court terme. Il peut en revanche entraîner le dépôt de plaques d'athérome sur le long terme, soit un dépôt de graisses contre les parois veineuses, susceptibles d'entraîner des thromboses, et potentiellement un infarctus ou un accident vasculaire cérébral (AVC). » 
Vous pouvez entendre ce message en allumant votre radio ou en consultant le site Internet de France- Info1. 
Cette information est d'autant plus angoissante qu'elle émane d'une institution publique au-dessus de tout soupçon, l'Institut de Veille Sanitaire, et non d'un laboratoire pharmaceutique. 
Heureusement pour vous, cher lecteur, le vengeur masqué JMD arrive au grand galop. D'un coup d'épée rageur, il déchirera une nouvelle fois le voile épais du mensonge et jettera toute la lumière sur les noirs projets des marchands de peur médicaux. 
La vérité sur les chiffres de l'Institut de Veille Sanitaire
Le « bon » taux de cholestérol n'est pas une valeur scientifique. Il s'agit d'un seuil, déterminé par un consensus d'experts, et qui donc évolue selon les pays, et selon le temps. 
La tendance, depuis 20 ans, a été de constamment diminuer le taux maximum de cholestérol LDL recommandé. Alors que vous étiez considéré comme normal si votre taux de cholestérol total était inférieur à 3 g, puis à 2,8 g, puis à 2,4 g/L avant les années 2000, le but actuel est d'être en-dessous de 2 g/L, et 1,6 g/L si l'on ne prend en compte que le taux dede LDL2. 
La confusion est telle que vous trouvez encore de nombreux articles sur Internet, par exemple cet article sur Doctissimo, indiquant en toute lettre que, pour un patient sans antécédents cardiovasculaires : 
« on considère que la valeur normale du taux de LDL-c dans le sang doit être inférieure à à 2,20 g/l . »3 
Baisser la valeur normale de taux de LDL a eu l'avantage énorme de multiplier le nombre de personnes soumises à un traitement de statines (des médicaments qui font baisser le taux de cholestérol). Des millions de personnes sont sous traitement, pour un prétendu problème de santé qui ne provoque aucun symptôme !! 
Le problème, comme le savent les lecteurs fidèles de Santé Nature Innovation, est que réduire le taux de LDL ne diminue pas en soi le risque d'accident cardiovasculaire, ni le risque de décès. En revanche, cela augmente le risque de dépression, de cancer, sans compter que les statines ont de très nombreux effets indésirables, dont une baisse d'énergie, des problèmes musculaires, des troubles de la mémoire, des douleurs. 
Les niveaux de cholestérol bientôt revus à la hausse ?
Depuis 2006, on sait que les valeurs de LDL actuellement fixées par les autorités n'ont aucun sens. Une revue publiée dans lesAnnals of Internal Medicine a conclu qu'il n'existe pas de base scientifique à ces valeurs, et que rien ne prouve qu'atteindre une cible déterminée de LDL ait la moindre importance en soi4. 
Selon un tout récent article de la revue scientifique Nature, il pourrait donc y avoir un changement de politique concernant le traitement du cholestérol :
l'idée que moins l'on a de cholestérol, mieux c'est, n'a jamais été démontrée. Il a par contre souvent été relevé dans la littérature médicale que donner des traitements médicaux aux gens sur la base de leur niveau de cholestérol n'avait aucun fondement scientifique5.
L'hypothèse selon laquelle réduire le taux de cholestérol LDL (abusivement appelé « mauvais » cholestérol) se traduit automatiquement par une baisse du risque de maladie et une meilleure santé reste à ce jour une pure supposition. Car il se peut parfaitement que ce médicament nuise par ailleurs à l'organisme, et il semble en particulier que ce soit le cas des statines. On sait que des médicaments qui « améliorent » le taux de lipides dans le sang (comme le torcetrapib) augmentent en même temps le risque d'attaque cardiaque et de décès prématuré. De nombreux médecins continuent à prescrire des médicaments anti-cholestérol comme l'ezetimibe, alors qu'il n'existe aucune preuve qu'il améliore la santé, et certains signes indiquent qu'il augmenterait le risque de cancer. 

Tout cela fait dire au cardiologue Harlan Krumholz de l'Université de Yale (Connecticut) qu'il faut arrêter de fixer aux gens des objectifs de niveau de cholestérol LDL. « Nous ne pouvons pas nous contenter de supposer que modifier un facteur de risque est équivalent à modifier le risque lui-même. » a-t-il déclaré, rejoignant ainsi le point de vue défendu en France par le Dr Michel de Lorgeril et le Professeur Philippe Even. 
« Si vos artères et votre cœur sont en bonne santé, je me moque de savoir quel est votre taux de LDL ou votre pression sanguine » affirme quant à lui Jay Cohn, un cardiologue de l'Ecole de Médecine de l'Université du Minnesota à Minneapolis.
Pourquoi France Info diffuse-t-elle ces contre-vérités ?
Mais les idées reçues peuvent durer des années, des décennies, avant d'être abandonnées. En attendant, des milliards d'euros auront été dépensés en médicaments inutiles, et des centaines de milliers de personnes se seront inquiétées, et auront souffert d'effets secondaires, pour rien. 
Et ça ne va pas changer d'ici demain. Prenez le cas de France Info. Pour un journaliste, c'est beaucoup de travail de commencer à chercher ce qui se cache derrière les communiqués de presse qui émanent des autorités officielles. 
Commencer à fouiller dans la littérature médicale pour essayer de comprendre toutes ces histoires de cholestérol est très risqué : il ne faudrait pas être accusé d'avoir mis en danger la santé du public en minimisant un problème et en incitant les gens, suprême péché, à arrêter un traitement médical, qui est forcément bon pour eux. 
Par contre, ça ne prend pas plus d'un quart d'heure de « torcher », comme on dit dans le métier, un bel article bien simpliste, expliquant que le cholestérol est tout simplement une graisse blanche qui se dépose sur les artères, réduisant leur diamètre, jusqu'à provoquer des accidents cardiaques, et qu'il suffit de prendre des médicaments pour faire baisser le niveau de cholestérol et tout ira bien. C'est rapide, c'est net, facile à comprendre, et tant pis si tout est faux de bout en bout. Et comme la peur fait vendre, on a juste ce qu'il faut d'émotion dans l'article, pour que tout le monde ou presque se sente concerné en annonçant que « un Français sur cinq est touché par un excès de cholestérol ». 

Vis-à-vis de ses patrons, et même de ses auditeurs, cette journaliste n'a « rien à se reprocher », puisqu'elle a retranscrit ce qui est dit par une agence gouvernementale. La source est considérée comme fiable, cela autorise à répéter à grande échelle n'importe quelle ânerie. 
Il n'y a même pas besoin que l'industrie pharmaceutique verse des enveloppes par derrière. 
A votre santé ! 
Jean-Marc Dupuis


SDPI, votre site de prédilection, le jalon du futur...!!!

EST-CE IMPORTANT DE FIXER DES BUTS? LES PERSONNES SANS BUT ONT PLUS TENDANCE AUX ETATS DEPRESSIFS...

Bonjour fans et amis lecteurs de partout ,
Est-ce important de se fixer des buts ? 
Oui, avoir des buts est plus qu'important !
-- C'est en réalité VITAL --
Une étude américaine réalisée par une équipe de psychologues révèle que :
- Les personnes sans but ont plus tendance aux états dépressifs que
celles qui possèdent des buts. 
La raison est qu'un but provoque une
"légère pression" psychique utile pour notre équilibre. En revanche, le manque de "pression" engendre une "dé-pression".
- Une autre étude, elle, réalisée par des étudiants de Harvard, a montré que seulement 3 % des gens réalisaient ce qu'ils voulaient
dans leur vie. 
Or, stupéfaction, l'étude à mis en évidence que SEULEMENT 3 % des individus se fixent des objectifs... Et ce sont ceux-là qui, 30 ans plus tard, justement ont réalisé leurs ambitions en grande majorité.
Enfin, les médecins ont remarqué qu'une personne âgée - sans but est plus soumise au processus d'accélération du vieillissement
que les autres que celles qui des priorités (buts).
Quels buts avez-vous fixés pour vous amis lecteurs ? Si c'en est pas le cas, fixez-vous des buts a' atteindre aujourd'hui même, maintenant même au moment de la lecture de ce texto. Si vous pourrez fixer des objectifs a' atteindre pour chaque journée  pour chaque semaine, pour chaque moi, pour chaque année et pour votre vie tout entière  vous serez étonné de voir changer miraculeusement votre train de vie. 

-Choisissez d’être parmi ces rares personnes qui voient leurs buts ou rêves se réalisent pour avoir fait la différence de tous les autres en se fixant eux-mêmes de buts a' atteindre.
Pour ce faire, je vous propose de découvrir et de lire ce fameux ouvrage  ayant pour titre: "Comment atteindre vos objectifs..."version en promo sur www.thebookedition.com, et l'autre version titré "Comment Atteindre vos Objectifs par la maîtrise des 7 lois éternelles du succès  du bonheur et de la sante" version en promo sur www.unibook.com. 
Franchement je vous assure que si vous avez un but qui vous tient à coeur et que vous désirez le voir réaliser; en lisant ce fameux classique ouvrage en développement personnel vous montrant comment fixer des objectifs et les atteindre vous ne le regretterez pas par l'effet psychologique immédiat qui se développe automatiquement.
 -Je reviens vous parler dans quelques jours d'une vraie solution pour vous...
Votre dévoué,
SDPI, votre site de prédilection en matière de développement personnel. Une nouvelle vision pour une nouvelle approche et de nouveaux paradigmes...!!!!