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lundi 7 octobre 2013

"Extrait du fameux ouvrage intitulé "INDIENS D'AMERIQUE & CARAÏBE CHUTE DÉMOGRAPHIQUE OU GÉNOCIDE en promo sur www.unibookcom. Découvrez-le maintenant...

INDIENS D’AMERIQUE & CARAΪBE : CHUTE DÉMOGRAPHIQUE OU GÉNOCIDE ?
La Race Indienne de peau rouge, cette portion d’Habitants inoffensifs, candides, naïfs d’origine d’Amérique et du Caraïbe  qui
circulait à presque peau nue passe comme une lettre à la poste dans l’histoire de l’humanité tout entière. Bien Avant l’époque précolombienne, ce peuple vivait dans la paisibilité, dans l’harmonie. Avec l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique notamment dans la Caraïbe en 1492, le cours de l’histoire colonisatrice allait changer le train de vie de cette race humaine orageusement. Ses traces passent comme un coup d’éclair sur la planète terre telle qu’il n’existe presqu’aucune aujourd’hui.

Beaucoup se prétendent parler de sa génocide, d’autres parlent de sa chute démographique excusant toute implication des pays colonisateurs dans sa disparition.
Les Hommes de sciences, les Analystes et les Historiens ne semblent pas d’accord sur son éventuel génocide. Pour l’histoire et pour la vérité, on se prête  le flanc d’une analyse minutieuse des faits et des recherches historique pour mieux fixer la part des choses.  Existait-il un éventuel génocide ou une chute démographique ?

Beaucoup soupçonnent dans le « génocide » des Indiens d’Amérique et de la Caraïbe par les Français, les Anglais, les Espagnols et, plus tard, les Américains. Mais ceci n’est pas du tout confirmé par les historiens, archéologues, mémorialistes et analystes. Des carnages, des hécatombes, des boucheries furent commis par les deux camps : Camps des pays colonisateurs et ceux des Indiens mais en réalité ce sont bien les contaminations épidémiques naturelles qui ont assommé le glas des Indiens notamment d’Amérique.

“Il faut largement de dictons pour exposer ce qui s’est arrivé dans la région Nord (au sujet de la colonisation de l’Amérique du Nord et du Sud), toutefois "génocide" n’est pas l’un d’eux. C’est un bon bout de mot d’endoctrinement au moment où les dictons et les particularités ont substitué la réverbération et la conscience et cela amoindrit l’impression du mot et les afflictions endurées par les Juifs et les Arméniens, pour ne mentionner qu’eux.”Dr Robert Royal, 1492 and All That : Political Manipulations of History, University Press of America, 1992, page 63.
"Génocide ? Où chute démographique? Je ne connais aucune preuve de génocide indien. Exactions ? Oui. Guerre ? Oui. Victimes d’épidémies dont les Européens souffraient aussi ? Oui. Mais génocide systématique, non. Où sont les preuves ? La réalité, c’est que les activistes qui avancent cette théorie n’ont aucune preuve. C’est incroyable qu’ils arrivent à prétendre quelque chose sans preuve." Dr Robert Royal, président de l’Ethics and Public Policy Center.
"A travers les Amériques, les maladies qui contaminaient les Européens se propagèrent de tribus en tribus, voyageant bien plus vite que les Européens eux-mêmes. On estime que 95 % de la population amérindienne précolombienne [ndla : avant Christophe Colomb], les tribus les plus peuplées et les mieux organisées d’Amérique du Nord, les sociétés indiennes vivant au nord du Mississipi, disparurent entre 1492 et 1600, avant même que les Européens ne s’installent sur le Mississippi." Dr Jared Diamond (Université de Californie), Guns, Germs, and Steel : The Fates of Human Societies, W. W. Norton, 1997 (prix Pulitzer du meilleur livre de science), pages 78, 374.
Dans l’encyclopédie des guerres indiennes (dernière conquête de l’Ouest, 1860-1890) publiée par l’historien Gregory Michno en 1997 (Encyclopedia of the Indian wars, Mountain Press Publishing, 2003), on inventorie les trépassés américains et indiens tués durant les guerres indiennes (donc pendant les combats et carnages). Il en découle que les Indiens ont exécuté bien plus de tueries que les Blancs, et cela est commodément prouvable.
La boucherie la plus cruelle des guerres indiennes s’est étalée en 1890 avec 290 tués à Wounded Knee (dont 200 civils). Ce correspond aux civils Blancs anéantis annuellement dans le seul Kansas entre 1867 et 1870 (en 1868, on monte à 300 tués).
Il y a eu bien plus de civils américains massacrés dans l’Ouest que de civils indiens (de l’ordre de 10 massacres causés par les Blancs, contre plus de 100 causés par les Indiens).
Les Américains, les Français, les Espagnols et les Anglais ont bien sûr exhalé des torrents de haine contre les Indiens et leur ont prévu les pires bestialités. Mais ceci est autant vrai pour les Indiens, et reproduit des guerres de mots entre deux races. Comme il était pénible d’identifier ceux qui avaient commis des exactions, on en arrivait souvent à vouloir l’extermination de tout le groupe d’individus auquel appartenait le fauteur de troubles. Les pionniers promettaient d’"exterminer les Diables Rouges" (presse du Minnesota, 1876), les Indiens de "nettoyer la peste blanche" (chef kiowa Satanta, 1868). Mais ceci restait une guerre de mots.

b) Les épidémies, causes et conséquences
Ce sont très absolument les situations de vie (mauvaise) qui ont borné l’expansion des tribus indiennes. Ces situations de vie mauvaise étaient singulièrement provoquées par le nomadisme.
Malgré l’illusion des caravaniers, vivre dans des pavillons n’est pas le meilleur moyen de rester en bonne santé. Comme le souligne le spécialiste des Indiens Yves Berger, les Indiens avaient de très mauvaises conditions de vie et développaient des maladies qui allaient contribuer à leur écroulement démographique : grippes violentes, encéphalites, maladies des yeux, des poumons, sans compter toutes les maladies véhiculées par les moustiques, par les animaux et par le climat.
On sait que la disparition de tribus indiennes entières a été causée par la variole (petite vérole) arrivée par bateau depuis l’Europe, mais on sait moins que beaucoup d’autres maladies développée avant l’arrivée des Blancs ont contribué à cette catastrophe humanitaire et démographique.
Par exemple, la syphilis a été transmise aux Blancs par les Indiens, elle n’existait pas auparavant sous la forme que l’on connaît aujourd’hui.
Les spécialistes des Indiens ont prouvé que les conditions de vie chez les Indiens étaient très mauvaises et que leur espérance de vie était faible (voir Les Indiens des plaines, Yves Berger/Daniel Dubois, éditions du Rocher, 2000). De plus, les maladies développées en interne ont été décisives dans la chute démographique indienne.
En autre, les colons n’ont pas "amené" la variole, ils l’ont véhiculée sur eux et s’en seraient bien passés. Quatre millions de gens dans le monde mouraient de la variole au moment où elle atteignait l’Amérique, et cela a foudroyé les tribus indiennes. Suite aux accusations lancées par Ward Churchill, un professeur d’extrême gauche (qui compare les victimes du 11-Septembre à des nazis), et au livre écrit par un Hawaïen, des professeurs d’histoire américains ont cherché à déterminer si les Occidentaux avaient donné des couvertures infectées de variole à des Indiens. Il en a résulté que nous ne possédons aucune preuve de tels agissements et que, surtout, une incohérence majeure surgit : comment pouvait-on manipuler un virus sans être infecté ?
La chute démographique des Indiens s’est déroulée bien avant la fin des bisons. Les écorcheurs n’étaient pas encore là dans l’Ouest et des tribus entières s’éteignaient déjà (le virus est entré dans l’Ouest plus vite que les Blancs, par les échanges commerciaux et les guerres tribales qui ont propagé les germes).
Il faut aujourd’hui impérativement revenir au triomphe des faits et des analyses sur celle de la propagande. Les tribus indiennes d’Amérique ont succombé à des épidémies. Leur culture a été ruinée par une guerre de colonisation, certes, mais ils n’ont jamais été exterminés en masse. Cette affirmation ne repose sur aucun fait historique.
Surtout, elle témoigne de deux tendances qui travestissent l’étude historique : le sentiment antioccidental (appelé par le philosophe Pascal Bruckner "le sanglot de l’homme blanc", qui oublie sa propre histoire) et la "course à la mémoire", où chaque peuple défait dispute le titre de victime aux vrais génocides (Juifs, Arméniens, Rwandais). Avec les conséquences funestes que l’on voit aujourd’hui : une banalisation des vrais génocides, mis au même niveau que des pandémies, et un mépris de l’Histoire.
A quand l’accusation de "génocide" contre des groupes de personnes qui auraient transmis le virus du sida ?....

"Extrait du fameux ouvrage intitulé  "INDIENS D'AMERIQUE & CARAÏBE  CHUTE DÉMOGRAPHIQUE OU GÉNOCIDE  en promo sur www.unibookcom. Découvrez-le maintenant...

SDPI, le jalon du futur...!!!

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La Race Indienne de peau rouge, cette portion d’Habitants inoffensifs, candides, naïfs d’origine d’Amérique et du Caraïbe  qui
circulait à presque peau nue passe comme une lettre à la poste dans l’histoire de l’humanité tout entière. Bien Avant l’époque précolombienne, ce peuple vivait dans la paisibilité, dans l’harmonie. Avec l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique notamment dans la Caraïbe en 1492, le cours de l’histoire colonisatrice allait changer le train de vie de cette race humaine orageusement. Ses traces passent comme un coup d’éclair sur la planète terre telle qu’il n’existe presqu’aucune aujourd’hui.

Beaucoup se prétendent parler de sa génocide, d’autres parlent de sa chute démographique excusant toute implication des pays colonisateurs dans sa disparition.
Les Hommes de sciences, les Analystes et les Historiens ne semblent pas d’accord sur son éventuel génocide. Pour l’histoire et pour la vérité, on se prête  le flanc d’une analyse minutieuse des faits et des recherches historique pour mieux fixer la part des choses.  Existait-il un éventuel génocide ou une chute démographique ?

Beaucoup soupçonnent dans le « génocide » des Indiens d’Amérique et de la Caraïbe par les Français, les Anglais, les Espagnols et, plus tard, les Américains. Mais ceci n’est pas du tout confirmé par les historiens, archéologues, mémorialistes et analystes. Des carnages, des hécatombes, des boucheries furent commis par les deux camps : Camps des pays colonisateurs et ceux des Indiens mais en réalité ce sont bien les contaminations épidémiques naturelles qui ont assommé le glas des Indiens notamment d’Amérique.

“Il faut largement de dictons pour exposer ce qui s’est arrivé dans la région Nord (au sujet de la colonisation de l’Amérique du Nord et du Sud), toutefois "génocide" n’est pas l’un d’eux. C’est un bon bout de mot d’endoctrinement au moment où les dictons et les particularités ont substitué la réverbération et la conscience et cela amoindrit l’impression du mot et les afflictions endurées par les Juifs et les Arméniens, pour ne mentionner qu’eux.”Dr Robert Royal, 1492 and All That : Political Manipulations of History, University Press of America, 1992, page 63.
"Génocide ? Où chute démographique? Je ne connais aucune preuve de génocide indien. Exactions ? Oui. Guerre ? Oui. Victimes d’épidémies dont les Européens souffraient aussi ? Oui. Mais génocide systématique, non. Où sont les preuves ? La réalité, c’est que les activistes qui avancent cette théorie n’ont aucune preuve. C’est incroyable qu’ils arrivent à prétendre quelque chose sans preuve." Dr Robert Royal, président de l’Ethics and Public Policy Center.
"A travers les Amériques, les maladies qui contaminaient les Européens se propagèrent de tribus en tribus, voyageant bien plus vite que les Européens eux-mêmes. On estime que 95 % de la population amérindienne précolombienne [ndla : avant Christophe Colomb], les tribus les plus peuplées et les mieux organisées d’Amérique du Nord, les sociétés indiennes vivant au nord du Mississipi, disparurent entre 1492 et 1600, avant même que les Européens ne s’installent sur le Mississippi." Dr Jared Diamond (Université de Californie), Guns, Germs, and Steel : The Fates of Human Societies, W. W. Norton, 1997 (prix Pulitzer du meilleur livre de science), pages 78, 374.
Dans l’encyclopédie des guerres indiennes (dernière conquête de l’Ouest, 1860-1890) publiée par l’historien Gregory Michno en 1997 (Encyclopedia of the Indian wars, Mountain Press Publishing, 2003), on inventorie les trépassés américains et indiens tués durant les guerres indiennes (donc pendant les combats et carnages). Il en découle que les Indiens ont exécuté bien plus de tueries que les Blancs, et cela est commodément prouvable.
La boucherie la plus cruelle des guerres indiennes s’est étalée en 1890 avec 290 tués à Wounded Knee (dont 200 civils). Ce correspond aux civils Blancs anéantis annuellement dans le seul Kansas entre 1867 et 1870 (en 1868, on monte à 300 tués).
Il y a eu bien plus de civils américains massacrés dans l’Ouest que de civils indiens (de l’ordre de 10 massacres causés par les Blancs, contre plus de 100 causés par les Indiens).
Les Américains, les Français, les Espagnols et les Anglais ont bien sûr exhalé des torrents de haine contre les Indiens et leur ont prévu les pires bestialités. Mais ceci est autant vrai pour les Indiens, et reproduit des guerres de mots entre deux races. Comme il était pénible d’identifier ceux qui avaient commis des exactions, on en arrivait souvent à vouloir l’extermination de tout le groupe d’individus auquel appartenait le fauteur de troubles. Les pionniers promettaient d’"exterminer les Diables Rouges" (presse du Minnesota, 1876), les Indiens de "nettoyer la peste blanche" (chef kiowa Satanta, 1868). Mais ceci restait une guerre de mots.

b) Les épidémies, causes et conséquences
Ce sont très absolument les situations de vie (mauvaise) qui ont borné l’expansion des tribus indiennes. Ces situations de vie mauvaise étaient singulièrement provoquées par le nomadisme.
Malgré l’illusion des caravaniers, vivre dans des pavillons n’est pas le meilleur moyen de rester en bonne santé. Comme le souligne le spécialiste des Indiens Yves Berger, les Indiens avaient de très mauvaises conditions de vie et développaient des maladies qui allaient contribuer à leur écroulement démographique : grippes violentes, encéphalites, maladies des yeux, des poumons, sans compter toutes les maladies véhiculées par les moustiques, par les animaux et par le climat.
On sait que la disparition de tribus indiennes entières a été causée par la variole (petite vérole) arrivée par bateau depuis l’Europe, mais on sait moins que beaucoup d’autres maladies développée avant l’arrivée des Blancs ont contribué à cette catastrophe humanitaire et démographique.
Par exemple, la syphilis a été transmise aux Blancs par les Indiens, elle n’existait pas auparavant sous la forme que l’on connaît aujourd’hui.
Les spécialistes des Indiens ont prouvé que les conditions de vie chez les Indiens étaient très mauvaises et que leur espérance de vie était faible (voir Les Indiens des plaines, Yves Berger/Daniel Dubois, éditions du Rocher, 2000). De plus, les maladies développées en interne ont été décisives dans la chute démographique indienne.
En autre, les colons n’ont pas "amené" la variole, ils l’ont véhiculée sur eux et s’en seraient bien passés. Quatre millions de gens dans le monde mouraient de la variole au moment où elle atteignait l’Amérique, et cela a foudroyé les tribus indiennes. Suite aux accusations lancées par Ward Churchill, un professeur d’extrême gauche (qui compare les victimes du 11-Septembre à des nazis), et au livre écrit par un Hawaïen, des professeurs d’histoire américains ont cherché à déterminer si les Occidentaux avaient donné des couvertures infectées de variole à des Indiens. Il en a résulté que nous ne possédons aucune preuve de tels agissements et que, surtout, une incohérence majeure surgit : comment pouvait-on manipuler un virus sans être infecté ?
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Il faut aujourd’hui impérativement revenir au triomphe des faits et des analyses sur celle de la propagande. Les tribus indiennes d’Amérique ont succombé à des épidémies. Leur culture a été ruinée par une guerre de colonisation, certes, mais ils n’ont jamais été exterminés en masse. Cette affirmation ne repose sur aucun fait historique.
Surtout, elle témoigne de deux tendances qui travestissent l’étude historique : le sentiment antioccidental (appelé par le philosophe Pascal Bruckner "le sanglot de l’homme blanc", qui oublie sa propre histoire) et la "course à la mémoire", où chaque peuple défait dispute le titre de victime aux vrais génocides (Juifs, Arméniens, Rwandais). Avec les conséquences funestes que l’on voit aujourd’hui : une banalisation des vrais génocides, mis au même niveau que des pandémies, et un mépris de l’Histoire.
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Intro :
Dans le plein souci de rehausser, de mettre à nu, en évidence, en exergue cette portion ou cette page d’histoire concernant les Indiens d’Amérique et ceux des Antilles qui non seulement passent inaperçues aux yeux de plus d’un mais aussi créent des désaccords entre les Historiographes, les Mémorialistes, les Archéologues et chercheurs de partout pour et contre d’un(e) éventuel(le) génocide ou chute démographique des Indiens d’Amérique et ceux des Antilles. Ainsi ce bouquin ne fait que relater, qu’analyser et présenter les faits historiques minutieusement des différents point de vues, découvertes et témoignages en vue de déceler et décoder le verdict caché de la disparition presque totale de cette race humaine inoffensive, paisible et hospitalière  appelée Indiens qui fut survécue tant en Amérique qu’aux Antilles. Ce fameux bouquin appréhende d’une façon succincte les faits historiques afin de mieux aider le lecteur à apprécier cette page dans l’histoire du monde et peser le pour et le contre des différents points de vue en vue d’une conclusion de la part des choses. En ne voulant pas être fanatique, ni avoir une position ferme et arrêtée des différentes opinions, l’auteur laisse libres champs aux lecteurs avisés d’en tirer une conclusion de la donne tout en espérant que cette trouvaille trouve une place d’or dans l’histoire de l’humanité et pourquoi pas aux adeptes héritiers des Indiens de partout…


A noter que ce tableau n’est pas une plaidoirie contre et pour les Indiens, mais une esquisse qui présente les faits pour déficeler la vérité…

SDPI, votre fameux site de prestidigitation...!!! Une nouvelle vision, une nouvelle approche...