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jeudi 23 février 2012

lundi 20 février 2012

Ylauriston2@yahoo.fr: La Maîtrise de soi-même, texte à lire et à relire

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Ylauriston2@yahoo.fr: Un des secrets du bonheur

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Ylauriston2@yahoo.fr: L'origine du carnaval

Ylauriston2@yahoo.fr: L'origine du carnaval: Le Carnaval est une période de divertissement pendant laquelle l'ordre établi et la distribution des rôles sont ren...

L'origine du carnaval

 

Le Carnaval est une période de divertissement pendant laquelle l'ordre établi et la distribution des rôles sont renversés. Le roi devient un humble habitant, le mendiant est sacré roi du Carnaval, chacun se promène masqué ou grimé, et se cache derrière son masque pour faire ce qui lui est interdit en temps normal. Les conventions et les règles sociales sont modifiées, bousculées et oubliées pendant le Carnaval. Le Carnaval précède le mercredi des cendres et le Carême. Le Carnaval se déroule en hiver (dans l'hémisphère nord) mais sa date est mobile puisqu'elle dépend de la date de Pâques. Le Carnaval commence le jour de l'Epiphanie, jour des Rois, et se termine le jour de mardi-gras veille du mercredi des cendres. Le point culminant est le jour du mardi-gras. Selon les pays ou les régions le Carnaval court durant toute cette période ou il est limité sur une période donnée dans cet intervalle.
La tradition du carnaval est presque aussi ancienne que l'homme lui-même. La première certitude que nous ayons que l'homme se soit masqué remonte au paléolithique ( moins 15 000 à moins 10 000 ans avant J.C.) Elle date de la découverte de "l'homme au masque" dans la grotte des Trois Frères en Ariège en France. En fait, on ne connaît pas la signification du masque à cette époque, mais on sait qu'il existait déjà.
Le Carnaval moderne (tel qu'on le connaît) trouve ses origines en Europe où il s'est développé avant de se répandre dans le monde entier.
Les origines du Carnaval sont multiples comme toujours, les plus anciennes connues remontent à l'antiquité. Comme de nombreuses fêtes, le Carnaval doit ses origines à l'antiquité et à l'Eglise catholique. Dans sa volonté de s'imposer comme seule religion, l'Eglise catholique a dans un premier temps lutté contre des pratiques qu'elle considère comme idolâtres puis elle les a progressivement récupérées et intégrées aux pratiques et croyances catholiques.

Dans l'antiquité, on trouve de nombreuses fêtes pendant lesquelles l'ordre établi est renversé que ce soit dans la culture babylonienne ou dans la culture grecque ou romaine. Ces fêtes se déroulaient principalement à la fin de l'hiver pour célébrer le retour du printemps, de la fécondité et le réveil de la nature.
Dès le IIème siècle avant JC, il existe une fête d'inversion des rôles et des pouvoirs dans l'ancienne Babylone s'appelant les Sacées. Les Sacées étaient des fêtes équivalentes aux Saturnales, les Sacées étaient données en l'honneur de la déesse Anaïtis. Durant 5 jours les rôles étaient renversés entre les esclaves et leurs maîtres. Lors des Sacées un condamné à mort devenait roi pendant 5 jours avant d'être exécuté.

Les dionysies honoraient le dieu grec Dionysos, dieu de la fécondité , du vin et de la végétation. Ces fêtes se déroulaient à la fin de l'hiver pour célébrer le retour du printemps. Cette fête durait 5 jours et après un défilé à travers champs les cérémonies étaient consacrées au théâtre, aux mascarades et aux mimes du mariage sacré de Dionysos et de son épouse.

Les Saturnales romaines étaient de grandes fêtes célébrées à Rome pendant le solstice d'hiver en l'honneur de Saturne dieu de l'agriculture et du temps. Comme dans les Sacées babyloniennes, les Saturnales inversent les rôles entre les esclaves et les maîtres. Durant 1 à 8 jours (selon les époques) les esclaves devenaient les maîtres et tout était permis. Cette fête symbolisait l'égalité qui existait à l'origine entre les hommes. Un roi de pacotille était élu, puis vers le IVème siècle de bruyantes mascarades étaient organisées à travers toute la ville.

La fête juive de Pourim célèbre l'histoire d'Esther qui a sauvé les hébreux de Perse et de Médie en contrant les projets d'Haman qui voulait les exterminer. Pourim est célébré chaque année durant le mois d' Adar qui tombe en février ou mars (le calendrier juif étant un calendrier lunaire). Pourim n'est pas une origine directe du Carnaval, mais procède du même type de marche. On retrouve notamment le déguisement, la joie, et surtout l'inversion des rôles et la possibilité de transgresser les règles : « Pendant Pourim tout est permis », même certaines transgressions d'une loi biblique " (Deut. XXII. 5).
En réalité certains rites de la fête de Pourim ont été instaurés au Moyen-âge peu après l'officialisation du Carnaval.

Dans un premier temps l'Eglise condamna les manifestations carnavalesques héritées des saturnales romaines, puis ne pouvant s'y opposer, elle les récupéra.
Les traditions et pratiques héritées des romains ont donné la fête des fous, l'enfant-évêque et enfin le .
La fête des fous qui est l'élection d'un roi de pacotille marque l'inversion des rôles et le reversement des pouvoirs. Cette fête perdure aujourd'hui dans l’Épiphanie.
Le 28 décembre à l'occasion de l'office des Saints-Innocents un enfant-évêque célébrait l'inversion de l'ordre établi en défilant à la tête d'un cortège d'enfants et réclamait son dû aux portes des maisons.
Peu à peu les "fêtes à l'envers" sont soit interdites soit canalisées et limitées au Carnaval. Le Carnaval devient souvent une lutte entre les forces infernales et le bien. A la campagne on fabrique souvent des mannequins de paille qui finissent brûlés à la fin de la fête.

La corde invisible qui vous empêche de progresser

  Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché
  pour vendre sa récolte.
 
    La ville était loin et il lui faudrait plusieurs
  jours pour l'atteindre.
 
    Le premier soir, il s'arrête pour bivouaquer non
  loin de la maison d'un vieil Hermite.
 
    Au moment d'attacher son dernier âne, il s'aperçoit
  qu'il lui manque une corde.
 
    Si je n'attache pas mon âne se dit-il demain, il
  se sera sauvé dans la montagne!
 
    Il monte sur son âne après avoir solidement attaché
  les 2 autres et prend la direction de la maison
  du vieil Hermite.                                                                               
 
    Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas
  une corde à lui donner.
  
    Le vieillard avait depuis longtemps  fait vœux
  de pauvreté et n'avait pas la moindre corde,
  cependant, il s'adressa au paysan et lui dit:
 
    "Retourne à ton campement et comme chaque jour
  fait le geste de passer une corde autour du cou de
  ton âne et n'oublie pas de feindre de l'attacher à
  un arbre."
 
    Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce
  que lui avait conseillé le vieil homme.
 
    Le lendemain dès qu'il fût réveillé, le premier
  regard du paysan fût pour son âne.                                                   
 
    Il était toujours là!
 
    Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de
  se mettre en route, mais là, il eut beau faire,
  tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fit.
 
    L'âne refusait de bouger.
 
    Désespéré, il retourne voir l'Hermite et lui
  raconte sa mésaventure.
 
    "As-tu pensé à enlever la corde?" lui demanda-t-il.                                            
 
    "Mais il n'y a pas de corde!" répondit le paysan.
 
    "Pour toi oui mais pour l'âne..."
 
    "Le paysan retourne au campement et d'un ample
  mouvement, il mime le geste de retirer la corde.
 
    L'âne le suit sans aucune résistance.

 
 *Ne nous moquons pas de cet âne. Ne sommes-nous pas,
  nous aussi, esclave de nos habitudes, pire, esclave
  de nos habitudes mentales?
 
    Demandez-vous quelle corde invisible vous empêche de
  progresser...

 

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vendredi 17 février 2012

Un des secrets du bonheur


Elisabeth Barrett Browning a dit : 
  "Le pauvre homme que tu secours, 
  te rend riche; 
  le malade que tu soulages,        
  te guérit; 
  te rend service à toi-même."
  
  Ce sont les petits témoignages d'amour 
  qui nous donnent le vrai bonheur :
 

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jeudi 9 février 2012

La Maîtrise de soi-même, texte à lire et à relire


« Dites-vous bien maintenant que toutes les paroles que je vais prononcer vont se fixer dans votre cerveau, s'y
 imprimer, s'y graver, s'y incruster, qu'il faut qu'elles
y restent toujours fixées, imprimées, incrustées, et
que, sans que vous le vouliez, sans que vous le sachiez,
d'une façon tout à fait inconsciente de votre part, votre
organisme et vous-même devrez y obéir.

Je vous dis d'abord que, tous les jours, trois fois par jour,
le matin, à midi, le soir, à l'heure des repas, vous aurez faim,
c'est-à-dire que vous éprouverez cette sensation agréable qui fait penser et dire : 'Oh ! que je mangerais donc avec plaisir !'
Vous mangerez en effet avec plaisir et grand plaisir sans
toutefois trop manger. Mais vous aurez soin de mastiquer
longtemps vos aliments de façon à les transformer en une
espèce de pâte molle que vous avalerez.

Dans ces conditions, vous digérerez bien et vous ne
ressentirez, ni dans l'estomac, ni dans l'intestin, aucune
gêne, aucun malaise, aucune douleur, de quelque nature
que ce soit. L'assimilation se fera bien, et votre organisme
profitera de tous vos aliments pour en faire du sang, du
muscle, de la force, de l'énergie, de la vie, en un mot.

Puisque vous aurez bien digéré, la fonction intestinale
s'accomplira normalement et tous les matins, en vous
levant, vous éprouverez le besoin d'évacuer et, sans
avoir jamais besoin d'employer aucun médicament,
de recourir à un artifice quel qu'il soit, vous
obtiendrez un résultat normal et satisfaisant.

De plus, toutes les nuits, à partir du moment où
vous désirerez vous endormir jusqu'au moment où
vous désirerez vous éveiller le lendemain matin, vous
dormirez d'un sommeil profond, calme, tranquille,
pendant lequel vous n'aurez pas de cauchemars, et au
sortir duquel vous serez tout à fait bien portant, tout
à fait dispos.
D'un autre côté, s'il vous arrive quelquefois d'être
triste, d'être sombre, de vous faire de l'ennui, de
 broyer du noir, à partir de maintenant il n'en sera
plus ainsi, et au lieu d'être triste, sombre, au lieu de
vous faire du chagrin, de broyer du noir, vous serez
gai, bien gai, gai sans raison, c'est possible, mais gai
tout de même, comme il pouvait vous arriver d'être
triste sans raison .

Je dirai plus : même si vous avez des raisons vraies,
des raisons réelles de vous faire de l'ennui et du chagrin,
vous ne vous en ferez pas.
S'il vous arrive parfois d'avoir des mouvements d'impatience
ou de colère, ces mouvements, vous ne les aurez plus ; vous
serez, au contraire, toujours patient, toujours maître de
vous-même, et les choses qui vous ennuyaient, vous
agaçaient, vous irritaient, vous laisseront dorénavant
absolument indifférent et calme, très calme.
Si quelquefois vous êtes assailli, poursuivi, hanté
par des idées mauvaises et malsaines pour vous, par des
craintes, des frayeurs, des phobies, des tentations, des
rancunes, j'entends que tout cela s'éloigne peu à peu des
yeux de votre imagination et semble se fondre, se perdre
comme dans un nuage lointain où tout doit finir par
disparaître complètement. Comme un songe s'évanouit au
réveil, ainsi disparaîtront toutes ces vaines images.

J'ajoute que tous vos organes fonctionnent bien ; le cœur
bat normalement et la circulation du sang s'effectue comme
elle doit s'effectuer ; les poumons fonctionnent bien ;
l'estomac, l'intestin, le foie, la vésicule biliaire, les reins,
la vessie, remplissent normalement leurs fonctions. Si l'un
d'entre eux fonctionne actuellement d'une façon anormale,
cette anomalie disparaît un peu chaque jour, de telle sorte
que, dans un temps peu éloigné, elle aura disparu
complètement, et cet organe aura repris sa fonction normale.

De plus, s'il existe quelques lésions dans l'un d'eux, ses
lésions se cicatrisent de jour en jour, et elles seront
rapidement guéries.

J'ajoute encore ceci, et c'est une chose extrêmement
importante : si, jusqu'à présent, vous avez éprouvé
vis-à-vis de vous-même une certaine défiance, je vous
dis que cette défiance disparaît peu à peu pour faire
place, au contraire, à de la confiance en vous-même,
fondée sur cette force d'une puissance incalculable
qui est en chacun de nous. Et cette confiance est une
chose absolument indispensable à tout être humain.

Sans confiance en soi, on n'arrive jamais à rien, avec de
la confiance en soi, on peut arriver à tout (dans le
domaine des choses raisonnables, bien entendu).
Vous prenez donc confiance en vous, et la
confiance vous donne la certitude que vous êtes
capable de faire non seulement bien, mais même
très bien toutes les choses que vous désirez faire,
à la condition qu'elles soient raisonnables, toutes
 les choses aussi qu'il est en votre devoir de faire.

Donc, lorsque vous désirerez faire quelque chose
de raisonnable, lorsque vous aurez à faire une chose
qu'il est de votre devoir de faire, pensez toujours que
cette chose est facile. Que les mots : difficile,
 impossible, je ne peux pas ; c'est plus fort que
moi, je ne peux pas m'empêcher de... disparaissent
de votre vocabulaire, ils ne sont pas français.
Ce qui est français, c'est : c'est facile et je peux.

Si vous considérez la chose comme facile, elle le
devient pour vous alors qu'elle semblerait difficile
aux autres, et cette chose, vous la faites vite, vous
la faites bien, vous la faites aussi sans fatigue, parce
que vous l'aurez faite sans effort. Tandis que si vous
l'aviez considérée comme difficile ou impossible, elle
le serait devenue pour vous, tout simplement parce que
vous l'auriez considérée comme telle. (Ici Coué suggérait
que le suggestionneur introduise les suggestions
spécifiques du cas qu'il a à traiter.)

En somme, j'entends qu'à tous points de vue, tant au
point de vue physique qu'au point de vue moral, vous
jouissiez d'une excellente santé, d'une santé meilleure que
celle dont vous avez pu jouir jusqu'à présent. Maintenant,
je vais compter jusqu'à 'trois' et quand je dirai 'trois', vous
ouvrirez les yeux et sortirez de l'état où vous êtes, et vous
en sortirez bien tranquillement ; en en sortant, vous ne serez
pas engourdi, pas fatigué le moins du monde, tout au contraire,
vous vous sentirez fort, vigoureux, alerte, dispos, plein de vie ;
de plus, vous serez gai, bien gai et bien portant sous tous
rapports. Un, deux, trois. »

                                                Emile COUÉ!


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mercredi 8 février 2012

la Maîtrise de soi-même

« Dites-vous bien maintenant que
toutes les paroles que je vais
prononcer vont se fixer dans
votre cerveau, s'y imprimer,
s'y graver, s'y incruster,
qu'il faut qu'elles y restent
toujours fixées, imprimées,
incrustées, et que, sans que
vous le vouliez, sans que
vous le sachiez, d'une façon
tout à fait inconsciente de
votre part, votre organisme
et vous-même devrez y obéir.
Je vous dis d'abord que, tous
les jours, trois fois par jour, le
matin, à midi, le soir, à l'heure
des repas, vous aurez faim,
c'est-à-dire que vous
éprouverez cette sensation
agréable qui fait penser et
dire : 'Oh ! que je mangerais
donc avec plaisir !' Vous
mangerez en effet avec
plaisir et grand plaisir sans
toutefois trop manger. Mais



«
vous aurez soin de mastiquer
longtemps vos aliments de
façon à les transformer en
une espèce de pâte molle
que vous avalerez.
Dans ces conditions, vous
digérerez bien et vous ne
ressentirez, ni dans
l'estomac, ni dans l'intestin,
aucune gêne, aucun malaise,
aucune douleur, de quelque
nature que ce soit.
L'assimilation se fera bien,
et votre organisme profitera
de tous vos aliments pour en
faire du sang, du muscle, de
la force, de l'énergie, de la vie,
en un mot.
Puisque vous aurez bien
digéré, la fonction intestinale
s'accomplira normalement et
tous les matins, en vous levant,
vous éprouverez le besoin
d'évacuer et, sans avoir jamais
besoin d'employer aucun
médicament, de recourir à un
artifice quel qu'il soit, vous
obtiendrez un résultat normal
et satisfaisant.
De plus, toutes les nuits, à
partir du moment où vous
désirerez vous endormir









mardi 7 février 2012

vendredi 3 février 2012