Des intestins gonflés à la pompe à vélo !
« Partout où vous allez, les gens sont ballonnés ! On est ballonné dans les entreprises ; on est ballonné dans les ministères ; on est ballonné dans les hôpitaux. On est ballonné en vacances et dans les transports. On est ballonné en se couchant et on est ballonné en se réveillant ! »
Ce cri du cœur fut lancé en avril dernier (2012) par le Professeur Henri Joyeux, lors d'une conférence à la Sorbonne à laquelle j'assistais.
Tout l'amphithéâtre pouffait de rire mais on voyait aussi que la plupart des participants se sentaient concernés.
Les mots impolis
Quand j'étais petit, on ne parlait pas de ballonnement mais de « flatulences ». Enfin, flatulences était le mot utilisé par les personnes bien élevées, de même que « gaz » ou « vents ». Les expressions étaient plus crues dans la cour de récréation. Mais au bout du compte, il s'agissait toujours de ce phénomène sonore et malodorant, extrêmement gênant et pourtant source inépuisable de rire et de plaisanteries.
A petite échelle, il n'y a pas à craindre les ballonnements. Un minimum de maîtrise de soi, un court instant dans un endroit à part, bien aéré, et si possible insonorisé, et l'affaire est classée.
Toutefois, il arrive que des dérèglements aigus se produisent. Les victimes voient leur vie sociale se compliquer gravement. Il devient délicat, voire impossible d'aller au cinéma, à moins bien sûr qu'il ne s'agisse d'une production avant-gardiste financée par le ministère de la Culture, où l'on est sûr d'avoir plusieurs rangs pour soi tout seul.
Les voyages en train, en avion, en voiture (à plusieurs) deviennent problématiques. On n'ose plus proposer à une personne qu'on respecte de passer la nuit dans la même chambre et encore moins dans le même lit.
Et c'est sans compter le désagrément personnel, qui peut être grand, d'avoir l'impression après chaque repas d'avoir eu les intestins gonflés à la pompe à vélo.
Or, malheureusement, les solutions ne sont pas si simples.
Il ne suffit pas d'arrêter les pois chiches, ni le lait ou le gluten
Certains vous diront qu'il suffit d'éviter les haricots, les pois chiches, et la soupe au chou.
N'écoutez pas ces bonimenteurs. Si ces aliments aggravent évidemment la situation, beaucoup de personnes souffrent de ballonnement sans manger le moindre chou de Bruxelles.
D'autres vous expliquent que c'est le lait. Ou le gluten. Dans ce cas encore, environ 30 % de chanceux verront leurs ballonnements disparaître en supprimant l'un, l'autre, ou les deux de leur alimentation.
Mais une majorité (70 %) aura beau s'imposer un régime strict sans lait et sans gluten, elles seront toujours aussi gonflées, et l'évacuation de ces gaz continuera à empoisonner leur existence, et l'atmosphère autour d'elles.
Et le pire, c'est que les désagréments ne se limitent pas à ça : les gaz sont le signes d'un dérèglement intestinal et viennent rarement seuls. Presque toujours, il y a aussi diarrhée, constipation, ou une alternance des deux, et donc mal au ventre, mal à la tête, voir mal aux articulations.
Une fermentation anormale
La fermentation est normale, et même souhaitable dans notre système digestif. Mais elle se limite en principe aux aliments non-digérables, comme les fibres, qui servent de nourriture aux bactéries de la flore intestinale vivant dans le côlon. Si arrivent dans le côlon d'autres aliments non-digérés, comme du sucre ou des restes alimentaires qui auraient normalement dû être assimilés dans l'intestin grêle, une fermentation beaucoup plus forte s'enclenche, produisant des gaz plus abondants.
Les désagréments sont tels que les problèmes intestinaux de ce type sont la seconde cause de consultation médicale, après la fatigue.
Les médecins ont donc fini par désigner l'ensemble de ces symptômes (gaz, diarrhée, constipation, maux de ventre, maux de crâne...) sous le terme « syndrome du côlon irritable ». Malheureusement, peu trouvent vraiment la solution définitive pour leurs patients et on ne peut pas leur en vouloir car les causes sont en général complexes.
Toutes les solutions ici
Les causes sont si complexes, même, que j'ai été obligé de demander au spécialiste Thierry Souccar de faire une recherche spéciale sur ce sujet, pour expliquer précisément à mes lecteurs : quels sont les différents types d'aliments en cause, et comment les repérer ; comment limiter au maximum la liste des aliments « interdits », de façon à continuer à cuisiner de façon normale et sans se priver outre mesure ; que penser des tests d'intolérance alimentaires, qui sont de plus en plus à la mode, mais généralement hors de prix ; quels sont les compléments alimentaires qui permettent de faire disparaître les flatulences de façon naturelle ; quel est le risque pour les personnes touchées de déclencher d'autres maladies plus graves comme, par exemple, le cancer.
Thierry Souccar a réuni toute la documentation accumulée en 40 ans de travaux comme nutritionniste. Il a passé en revue toutes les dernières études, et nous a livré un dossier court, parfaitement résumé, de tout ce qu'il faut savoir sur le syndrome du côlon irritable et comment le guérir.
Ce dossier vient d'être envoyé à tous les abonnés aux Dossiers de Santé & Nutrition.Nous avons déjà reçu de nombreux remerciements. Il est encore temps d'en profiter vous aussi. Il suffit pour cela de vous inscrire avant la fin du mois d'octobre (vous recevrez en effet, immédiatement après votre inscription, le numéro en cours, qui est celui sur le syndrome du côlon irritable).
Ce simple dossier peut faire une différence positive considérable dans votre vie. Je rappelle que Thierry Souccar est un des meilleurs spécialistes français de nutrition et de biologie vieillissement. Il est membre de l’American College of Nutrition et auteur de 15 livres qui ont contribué à la révolution de la nutrition moderne (dont le best-seller « Santé, mensonge et propagande »). Il a été formé à la biochimie nutritionnelle à l’université de Californie, il a notamment été récompensé par l’Institut national sur le Vieillissement des États-Unis pour son livre «Le programme de longue vie», co-écrit avec le Dr Jean-Paul Curtay.
Ne vous privez pas des fruits de ce travail ! Nous le faisons spécialement pour vous. Bien sûr, ces dossiers ne sont pas totalement gratuits, à l'inverse de mes lettres d'information. Mais il faut aussi comprendre que nous avons d'importants frais de recherche et d'édition. Néanmoins, vous faites une économie considérable par rapport à ce que vous coûteraient ces recherches si vous deviez les faire vous-mêmes (avec l'abonnement aux revues scientifiques professionnelles en langue anglaise).
Quant au prix (et au temps !) de toutes les consultations médicales qu'il vous faudrait faire pour (re)découvrir de votre côté les solutions qui marchent, sans aucune garantie de résultat d'ailleurs, il est évident que vous économisez des centaines voire des milliers d'euros à essayer plutôt les Dossiers de Santé & Nutrition. C'est pour cela qu'ils existent.
Pour en savoir plus sur les Dossiers de Santé & Nutrition, rendez-vous ici.
A votre santé !
« Partout où vous allez, les gens sont ballonnés ! On est ballonné dans les entreprises ; on est ballonné dans les ministères ; on est ballonné dans les hôpitaux. On est ballonné en vacances et dans les transports. On est ballonné en se couchant et on est ballonné en se réveillant ! »
Ce cri du cœur fut lancé en avril dernier (2012) par le Professeur Henri Joyeux, lors d'une conférence à la Sorbonne à laquelle j'assistais.
Tout l'amphithéâtre pouffait de rire mais on voyait aussi que la plupart des participants se sentaient concernés.
Les mots impolis
Quand j'étais petit, on ne parlait pas de ballonnement mais de « flatulences ». Enfin, flatulences était le mot utilisé par les personnes bien élevées, de même que « gaz » ou « vents ». Les expressions étaient plus crues dans la cour de récréation. Mais au bout du compte, il s'agissait toujours de ce phénomène sonore et malodorant, extrêmement gênant et pourtant source inépuisable de rire et de plaisanteries.
A petite échelle, il n'y a pas à craindre les ballonnements. Un minimum de maîtrise de soi, un court instant dans un endroit à part, bien aéré, et si possible insonorisé, et l'affaire est classée.
Toutefois, il arrive que des dérèglements aigus se produisent. Les victimes voient leur vie sociale se compliquer gravement. Il devient délicat, voire impossible d'aller au cinéma, à moins bien sûr qu'il ne s'agisse d'une production avant-gardiste financée par le ministère de la Culture, où l'on est sûr d'avoir plusieurs rangs pour soi tout seul.
Les voyages en train, en avion, en voiture (à plusieurs) deviennent problématiques. On n'ose plus proposer à une personne qu'on respecte de passer la nuit dans la même chambre et encore moins dans le même lit.
Et c'est sans compter le désagrément personnel, qui peut être grand, d'avoir l'impression après chaque repas d'avoir eu les intestins gonflés à la pompe à vélo.
Or, malheureusement, les solutions ne sont pas si simples.
Il ne suffit pas d'arrêter les pois chiches, ni le lait ou le gluten
Certains vous diront qu'il suffit d'éviter les haricots, les pois chiches, et la soupe au chou.
N'écoutez pas ces bonimenteurs. Si ces aliments aggravent évidemment la situation, beaucoup de personnes souffrent de ballonnement sans manger le moindre chou de Bruxelles.
D'autres vous expliquent que c'est le lait. Ou le gluten. Dans ce cas encore, environ 30 % de chanceux verront leurs ballonnements disparaître en supprimant l'un, l'autre, ou les deux de leur alimentation.
Mais une majorité (70 %) aura beau s'imposer un régime strict sans lait et sans gluten, elles seront toujours aussi gonflées, et l'évacuation de ces gaz continuera à empoisonner leur existence, et l'atmosphère autour d'elles.
Et le pire, c'est que les désagréments ne se limitent pas à ça : les gaz sont le signes d'un dérèglement intestinal et viennent rarement seuls. Presque toujours, il y a aussi diarrhée, constipation, ou une alternance des deux, et donc mal au ventre, mal à la tête, voir mal aux articulations.
Une fermentation anormale
La fermentation est normale, et même souhaitable dans notre système digestif. Mais elle se limite en principe aux aliments non-digérables, comme les fibres, qui servent de nourriture aux bactéries de la flore intestinale vivant dans le côlon. Si arrivent dans le côlon d'autres aliments non-digérés, comme du sucre ou des restes alimentaires qui auraient normalement dû être assimilés dans l'intestin grêle, une fermentation beaucoup plus forte s'enclenche, produisant des gaz plus abondants.
Les désagréments sont tels que les problèmes intestinaux de ce type sont la seconde cause de consultation médicale, après la fatigue.
Les médecins ont donc fini par désigner l'ensemble de ces symptômes (gaz, diarrhée, constipation, maux de ventre, maux de crâne...) sous le terme « syndrome du côlon irritable ». Malheureusement, peu trouvent vraiment la solution définitive pour leurs patients et on ne peut pas leur en vouloir car les causes sont en général complexes.
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Les causes sont si complexes, même, que j'ai été obligé de demander au spécialiste Thierry Souccar de faire une recherche spéciale sur ce sujet, pour expliquer précisément à mes lecteurs : quels sont les différents types d'aliments en cause, et comment les repérer ; comment limiter au maximum la liste des aliments « interdits », de façon à continuer à cuisiner de façon normale et sans se priver outre mesure ; que penser des tests d'intolérance alimentaires, qui sont de plus en plus à la mode, mais généralement hors de prix ; quels sont les compléments alimentaires qui permettent de faire disparaître les flatulences de façon naturelle ; quel est le risque pour les personnes touchées de déclencher d'autres maladies plus graves comme, par exemple, le cancer.
Thierry Souccar a réuni toute la documentation accumulée en 40 ans de travaux comme nutritionniste. Il a passé en revue toutes les dernières études, et nous a livré un dossier court, parfaitement résumé, de tout ce qu'il faut savoir sur le syndrome du côlon irritable et comment le guérir.
Ce dossier vient d'être envoyé à tous les abonnés aux Dossiers de Santé & Nutrition.Nous avons déjà reçu de nombreux remerciements. Il est encore temps d'en profiter vous aussi. Il suffit pour cela de vous inscrire avant la fin du mois d'octobre (vous recevrez en effet, immédiatement après votre inscription, le numéro en cours, qui est celui sur le syndrome du côlon irritable).
Ce simple dossier peut faire une différence positive considérable dans votre vie. Je rappelle que Thierry Souccar est un des meilleurs spécialistes français de nutrition et de biologie vieillissement. Il est membre de l’American College of Nutrition et auteur de 15 livres qui ont contribué à la révolution de la nutrition moderne (dont le best-seller « Santé, mensonge et propagande »). Il a été formé à la biochimie nutritionnelle à l’université de Californie, il a notamment été récompensé par l’Institut national sur le Vieillissement des États-Unis pour son livre «Le programme de longue vie», co-écrit avec le Dr Jean-Paul Curtay.
Ne vous privez pas des fruits de ce travail ! Nous le faisons spécialement pour vous. Bien sûr, ces dossiers ne sont pas totalement gratuits, à l'inverse de mes lettres d'information. Mais il faut aussi comprendre que nous avons d'importants frais de recherche et d'édition. Néanmoins, vous faites une économie considérable par rapport à ce que vous coûteraient ces recherches si vous deviez les faire vous-mêmes (avec l'abonnement aux revues scientifiques professionnelles en langue anglaise).
Quant au prix (et au temps !) de toutes les consultations médicales qu'il vous faudrait faire pour (re)découvrir de votre côté les solutions qui marchent, sans aucune garantie de résultat d'ailleurs, il est évident que vous économisez des centaines voire des milliers d'euros à essayer plutôt les Dossiers de Santé & Nutrition. C'est pour cela qu'ils existent.
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A votre santé !
JMD
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