Traduction

mardi 27 septembre 2011

Le president et le kidnapping


                            Préface (le Président & le kidnapping)
Étant donné que nous vivons dans un monde médiocre ou maudit ou en d’autres termes, rien n’est certain, pour en dire mieux la vérité n’est pas toujours véridique et peut – être sur chaque mille personne une seule qui pense ou qui est pourvue de la vérité. Ainsi ce roman dont je prends la liberté de le doter de ma signature authentique est un hymne à la liberté de penser, d’écrire, de parler, pour en dire à la manière de Voltaire ‘’HABEAS CORPUS’’. Quoique nous vivions l’époque où les plus grandes découvertes ont été effectuées, c’est également l'époque la plus féroce, la plus immorale ou en un mot un monde qui tourne et retourne à l’envers, voulant retourner à l’homo Sapiens. Mais je prends ma plume vengeresse pour dire aux jeunes qui sont de la génération montante qu’une ère nouvelle est en train d’ouvrir sur l’humanité,  et de ce faite, ils doivent tous s’armer de l’étendard de la raison et lumière afin d’être toujours vainqueur de celle-ci. Si la maison du Verbe à laquelle on devrait donner tous nos crédits n’est pas certaine, même le Verbe…Comment peut-on dire que nous conjuguons le même Verbe, et que des guerres se lèvent entre nation et nation. Est ce un Verbe de divergence … ? Connaissant que la guerre est la pire ennemi de la civilisation, c’est une boucherie héroïque qui ruine les états et détruit le vainqueur comme le vaincu. La guerre de la maison du Verbe est plus odieuse encore. Et cependant, je  suis très optimiste de l’avenir, je veux dire dans le langage de corneille dans Cinna : « Je suis maître de moi comme de l’univers, je le suis, je veux l’être. O Siècles ! Oh mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire, je triomphe aujourd’hui du plus juste courroux, de qui le souvenir puisse aller jusqu’à vous ! Soyons amis Cinna, c’est moi qui t’en convie.
Par conséquent, ce roman le « Président & le Kidnapping » ou ses mots retracent les tares et présentent les repères  du monde et ceux d’Ayïti  est  tiré des actes barbares que nous faisons chaque jour, retraçant l’énigme de ce monde. C’est une satire de la guerre, de l’amour courtois, de la bravoure. C’est également une histoire diplomatique et militaire. En outre, j’accepte des critiques constructives qui peuvent apporter des pions de perfectionnement.

Sur ce, je sème un grain qui pourra un jour produire une moisson…   


Extrait:

Christophe le bon roi d’Ayiti Quiskeya ou Bohio,  dont la prouesse nous enseigne que nous, aussi, devrions être braves et courtois, jugé une cour riche et royale sur ce régal-jour précieux ce qui est toujours connu par le nom de Pentecôte. La cour était chez Christophe à la Citadelle du Cap-Haitien. Quand le repas a fini, la servante amuse les chevaliers et ils ont été appelés par les dames, les demoiselles, et les filles d’honneurs. Certains ont indiqué des histoires ; d'autres ont parlé de l'amour, des épreuves et des douleurs, aussi bien que des grandes bénédictions, qui incombent souvent aux membres de son ordre, qui était riche et s'épanouissant en ces jours de vieux. Mais maintenant ses palpeurs sont peu, après l'avoir abandonné presque à un homme, de sorte que l'amour soit beaucoup abaissé. Pour des amoureux utilisés pour mériter d'être considéré courtois, braves, généreux, et honorables. Mais aimer maintenant est des rire-actions, pour ceux qui ne font affirmer aucune intelligence d'eux qu'ils aiment, et du fait qu’ils se trouvent. Ainsi ils poussent une moquerie et se trouvent en revendiquant où ils n'ont aucun droit. Mais laissons ceux qui sont encore vivants, pour parler de ceux de l'ancien temps. Car, je le prends, un homme courtois, bien que des morts, vaut la peine......

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