Traduction

lundi 28 avril 2014

LES CAILLOUX: MOTIVATIONS POSITIVES: PAGE 8 A 44, EXTRAIT

Le plus grand pouvoir dont vous disposez...sans le savoir.
Quand les premiers hommes erraient encore sur la terre, forcés de conduire leurs troupeaux là où s'étendaient les plus riches pâturages, un des fils de Japhet s'était endormi dans la solitude, près de ses brebis.

Or, il fit un rêve, que voici :
Il lui sembla qu'il se trouvait sur une haute montagne, d'o
ù il apercevait au loin les tentes de sa tribu et celles de beaucoup d'autres tribus amies.

A cette vue, son cœur bondit de joie, il tendit les bras vers les tentes et éleva la voix pour appeler ses parentes et ses sœurs; mais la distance ne lui permettait ni d'entendre, ni d'être entendu.

Il s'adressa en vain aux nuages pour le transporter jusqu'
à ses frères, 
aux oiseaux pour lui prêter leurs ailes, au vent pour transmettre ses paroles: le vent, les oiseaux et les nuages passèrent sans l'écouter.

Les yeux du pasteur se remplirent de larmes; il cria au Dieu de ses pères:

- "Etre tout puissant! Affranchis-moi de l'espace et du temps! Fais que, dans ma solitude, je puisse parler aux autres hommes, entendre ce qu'ils pensent maintenant et ce qu'ils ont pensé autrefois!"

Alors un ange descendit, et, lui remettant une tablette sur laquelle étaient tracées quelques signes, il lui dit:
"Apprends d'abord 
à reconnaitre ces caractères, puis à les imiter, ton souhait sera accompli."

    C'
était l'alphabet que cet Etre Suprême donnait au genre humain, et avec lui les 2 arts les plus utiles à ses progrès et à son bonheur, la lecture et l'écriture!

Grâce à eux, en effet, qu'importent la solitude et l'éloignement?

-L'HOMME QUI SAIT LIRE DIALOGUE AVEC LES ABSENTS.

Il reçoit leurs confidences, il entend leurs assurances d'affection, il sait ce qu'ils font, ce qu'ils pensent, ce qu'ils désirent.

Le papier qu'il reçoit, couvert de signes qu'ils ont tracées, est pareil à ces talismans qui pouvaient, dit-on, évoquer les amis é1oignés, les montrer à nos yeux dans leurs sentiments et leurs occupations.

Sans la lecture, les absents seraient comme des morts, car on cesserait de savoir où ils sont, ce dont ils s'occupent, s'ils se souviennent encore, et si nous continuons à leur être chers.

Otez ces entretiens écrits qui ravivent la mémoire et raniment le cœur et la plupart des liens seraient rompus par l'éloignement.

 «L'HOMME QUI SAIT LIRE EST EN COMMUNICATION
  NON SEULEMENT AVEC SES AMIS ; MAIS AVEC TOUT L'UNIVERS! »

La terre ne finit pas pour lui 
à l'étroit espace que peut embrasser son regard; il participe à la vie commune; il n'y a plus d'étrangers à ses yeux, car il sait l'histoire de toutes les nations; plus de contrées inconnues, car les livres lui ont montré le monde comme dans un miroir.

« L'HOMME QUI SAIT LIRE CONVERSE MEME AVEC LES MORTS. »

Penché sur les écrits auxquels ils ont confié leurs pensées, il lui semble que les paroles des grands hommes s'élèvent des pages muettes jusqu'à son esprit.

Il reçoit les le
çons de tous ces génies semés sur la route du temps comme les étoiles sur la route de notre globe; il profite de leur expérience, il ajoute leurs réflexions à ses réflexions.

Il devient le légataire universel de l'héritage de sagesse laissé par les siècles qui l'ont précédé.

« L'HOMME QUI SAIT LIRE PEUT TOUT APPRENDRE. »

L'enseignement lui arrive directement sans passer par la bouche du ma
ître; les livres sont pour lui des écoles toujours ouvertes.

« L'HOMME QUI SAIT LIRE NE CONNAIT PAS L'ENNUI »

Il a à sa disposition tout ce qui peut éveiller la curiosité, intéresser l'esprit, émouvoir l'imagination.

Veut-il voyager au loin, entendre les récits des désastres ou des triomphes de son pays, écouter les inspirations des poètes, assister aux merveilleuses découvertes des savants, suivre les aventures romanesques de quelque héro imaginaire, la lecture, comme une fête complaisante, l'emporte où il veut aller!

Souverain tout-puissant, sa cour est 
formée des plus grandes intelligences que la terre ait vues naître et qui, esclaves de son plaisir, se taisent où élèvent la voix selon sa fantaisie.

« ENFIN L'HOMME QUI SAIT LIRE SEMBLE MULTIPLIER
  SES FACULTES ET AGRANDIR SA NATURE. »

 Il est 1,000 fonctions qui ne peuvent 
être confiées qu'à lui seul. Il a un sens de plus que l'ignorant; il appartient, pour ainsi dire, à un rang plus élevé dans l'ordre des êtres.

Il peut d
évelopper l'utilisation de son potentiel jusqu'à atteindre les limites de ses rêves les plus fous.

Il peut conna
ître le succès, la fortune, le bonheur, tout ce qu'il veut atteindre devient à sa portée.

Pour tout cela, il lui suffit de LIRE un peu chaque jour, et de bien choisir ses lectures.

                     -o0o-

Et vous, ami lecteur, utilisez-vous pleinement le merveilleux pouvoir de lire qui vous a été donné? Le Fameux billet de 50 Euros
Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 50 Euros. Il demande aux gens :

"Qui aimerait avoir ce billet ?"

Les mains commencent à se lever, alors il dit :

"Je vais donner ce billet de 50 Euros à l'un d'entre vous mais
  avant laissez-moi faire quelque chose avec."

Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :

"Est-ce que vous voulez toujours ce billet ?"

Les mains continuent à se lever.

"Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela."

Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.

Ensuite il demande :

"Qui veut encore avoir ce billet ?"

Évidemment, les mains continuent de se lever !

"Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé, il vaut toujours 50 Euros."

"Alors pensez à vous, à votre vie. Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissé, rejeté, souillé par les gens ou par les événements.

Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment !

« La valeur d'une personne ne tient pas à ce qu'elle a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte."
Leçon de vie : Les Cailloux de la vie
 Un jour, un vieux professeur de l'École Nationale d'Administration  Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la  planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de  dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.

Ce cours constituait l'un des 5 ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "faire passer sa matière".

Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait lui enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot de verre de plus de 4 litres qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda :

"Est-ce que ce pot est plein ?".

Tous répondirent : "Oui".

Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?".

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et réitéra sa question :

"Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.

L'un d'eux répondît : "Probablement pas !".

"Bien !" répondît le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table un sac de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?".

Cette fois, sans hésiter et en chœur, les brillants élèves répondirent :

"Non !".
"Bien !" répondit le vieux prof.

Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda :

"Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?"

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".

"Non" répondît le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante :

"Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite".

Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?"

"Votre santé ?"

"Votre famille ?"

"Vos ami(e)s ?"

"Réaliser vos rêves ?"

"Faire ce que vous aimez ?"

"Apprendre ?"

"Défendre une cause ?"

"Vous relaxer ?"

"Prendre le temps... ?"

"Ou... tout autre chose ?"

"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.

 Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même, amis lecteurs, la question :

"Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?"

Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)"

D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et quitta lentement la salle.

Le secret le mieux garde de tous les temps...

Voici quelqu'un sur lequel personne ne se retourne dans la rue. Quelqu'un qui n'a en apparence absolument rien de spécial...

Mais cette personne détient un secret. Il n'y a pas si longtemps, sa vie ressemblait à une routine parfaitement banale:

« M
étro-Boulot-Dodo »

Les mois étaient trop courts, le temps filait à une vitesse déconcertante, certaines factures étaient difficiles à payer... Les rêves de l'adolescence avaient laissé place à "la dure réalité de la vie" des adultes.

"On fait ce qu'on peut"... "Il n'y a pas de quoi se plaindre"... "Tout le monde n'a pas la chance d'avoir un boulot par les temps qui courent"...

Ces phrases, notre héros se les répétait souvent pour essayer d'accepter une vie qui ne lui plaisait pourtant guère.

Mais sa vie a basculé un jour grâce à un secret.

Un seul et tout petit secret. Il a subitement compris comment reprendre le contrôle TOTAL de sa vie, de ses amours, de ses finances, de ses projets... Alors que rien ne tournait rond, TOUT va maintenant merveilleusement bien grâce à une révélation.

Cette révélation lui a ouvert les portes d'un monde nouveau. Celle d'un monde où le stress n'existe pas, où le patron n'est pas exigeant et où SES comptes en banques sont florissants...

Aujourd'hui, cette personne SAIT qu'elle n'aura plus jamais aucun souci de quelque nature que ce soit. Elle SAIT où elle va et COMMENT elle y va.

En bref, cette personne vit la vie dont elle a toujours rêvé. Son histoire est absolument fascinante. Elle soulève l'envie et l'admiration de tous ses proches.

En fait... Vous connaissez très bien ce personnage mystérieux!

C'est VOUS, dans quelques temps... Vous-même qui lisez ce bouquin. Vous êtes étonné peut-être ? Vous vous acquiescez ? Vous commencez à sourire…Le succès  commence toujours par un sourire. Vous en êtes bien !

« Redevenez ma
ître de votre vie et de vos envies, le pouvoir de changer est en vous… »

Son père le vire : il le rachète plus tard !
Robert Mailleux est un homme connu dans la région de Liège, en Belgique. Au-delà des frontières de ce petit royaume, personne ne le connaît... et pourtant...

Son père tenait un petit magasin de meubles depuis pas mal d'années. Rien de bien extraordinaire mais la famille pouvait en vivre. Il décide un jour d'engager son fils Robert, comme tant de pères l'ont fait avant lui.

Au bout de quelques temps, l'ambiance s'est détériorée au point que le père a viré son propre rejeton!

Vous imaginez? Être viré comme un malpropre par votre propre père! Il y a de quoi se sentir diminué et baisser les bras n'est-ce pas?

Robert Mailleux, lui, a réagi de façon bien différente de la plupart: il s'est mis en tête d'ouvrir son propre magasin de meubles, de faire concurrence au commerce de son papa et de...le racheter dès que ce serait possible!

En quelques années, Robert Mailleux a construit une entreprise florissante et rentable. Surpassant de très loin le chiffre d'affaires que son père avait mis de très nombreuses années à atteindre.

Jusqu'au jour où il a carrément racheté le magasin de son paternel!

Mais là où il a été 'bon Prince', c'est qu'il a en plus offert un nouveau contrat de travail à son papa plutôt que de le laisser sans emploi!

Aujourd'hui, les "Meubles Mailleux" représentent une référence et une puissance commerciale dépassant de loin les espoirs les plus fous de Robert Mailleux père...

D
écouvrez le secret de cet homme d'affaires…
La sonate du diable
Un jour, Tartini, célèbre professeur de violon et compositeur, vit apparaître Satan dans ses rêves.

Il avait un corps d'homme, mais avec une grande queue et des pieds crochus, les ailes d'une chauve-souris gigantesque, une face effroyable armée de longues oreilles, surmontée de cornes plus longues encore accompagnant un regard flamboyant et un rictus épouvantable.

"Je suis le Prince des ténèbres, Je puis te donner la gloire, la richesse et la renommée. Mais tu dois m'abandonner ton âme".

Et, afin de prouver ce qu'il avançait, le diable s'empara du violon de l'artiste et se mit à y promener l'archet avec une habileté et une supériorité inconnue jusqu'alors au musicien.

Celui-ci écoutait, immobile et comme en extase; ce qu'il entendait était une sonate si magnifique et si étrange qu'il n'avait jamais imaginé qu'on puisse tirer pareils sons d'un violon.

Sa surprise et son ravissement allaient crescendo, il n'osait plus respirer dans la crainte de perdre une note de cette harmonie.

Bientôt, son émotion l'oppressa tellement qu'il se
r
éveilla.

Encore sous l'influence de cette sensation qui avait envahi tout son être, il saisit son violon, et reproduisit ce qu'il avait cru entendre.

C'est ainsi que naquit la fameuse "Sonate du diable"
un des morceaux les plus fameux de l'histoire de la musique.
Anges ou d
émons, les personnages qui apparaissent dans nos rêves peuvent stimuler notre créativité et donner naissance à de belles œuvres. C'est ainsi qu'est ne le Club Positif: un rêve...

Horribles Mensonges sur le Leadership
S'il y a bien quelque chose qui énerve la plupart des gens, c'est le MENSONGE.
Et pourtant, il existe certains mensonges qui circulent encore et encore et auxquels trop peu de gens osent s'attaquer...

Alors allons-y ensemble!
Voici 5 horribles mensonges 
à propos du Leadership. Ready? :-)
On y va!
1) "Seuls quelques tr
ès rares 'élus' possèdent cette habileté"
=> Beaucoup de gens continuent de croire qu'on naît leader ou qu'on ne l'est jamais.
C'est faux et archi-faux!
Steve Jobs n'est pas né avec un clavier d'ordinateur dans les mains.
Lance Armstrong n'est pas n
é avec des pédales aux pieds.
Zidane n'est pas n
é avec le brassard de l'équipe de France au bras.

2) "Il faut du charisme pour être un leader"
=> Beaucoup de leaders sont en effet charismatiques, mais pas tous, loin de l
à! Zidane était charismatique sur un terrain de foot, mais en dehors, il est plus introverti que la moyenne.

3) "Celui qui occupe la + haute fonction ou le plus haut titre est le leader"
=> Faux! Tout le monde conna
ît des fils à papa chefs d'entreprise qui démoralisent leurs troupes au lieu de les motiver comme le ferait un vrai leader.

 4) "Leader = manipulateur"
=> Sœur Emmanuelle 
était un grand leader, mondialement reconnu. Qui oserait dire qu'elle manipulait les gens? Un vrai leader ne manipule pas, il révèle et magnifie le potentiel de leur entourage.

5) "Il faut être beaucoup plus intelligent et avoir de grands diplômes pour être un vrai leader"

=> BZZZ! Faux! Le leadership est surtout une question d'ATTITUDE, pas d'intelligence. La grande diff
érence se trouve là en fait...
L'attitude influence les pens
ées, qui influencent les actions, les résultats et donc l'estime que les autres ont de vous.

Oui mais comment avoir la bonne attitude?

Comment devenir un vrai leader aux yeux de vos proches, de vos coll
ègues et, surtout, de vous-même?

Un leader est respect
é et inspire les gens autour de lui à donner le meilleur d'eux-mêmes.

Aimeriez-vous devenir ce genre de personne?
Soyez le maitre de votre destin!
Vous avez choisi d'être le maître de votre destin ! Etre le maître de votre destin, c'est être le leader de votre vie... Et ne vous laissez pas impressionner par le mot leader en vous disant qu'il n'est réservé qu'aux politiques ou à quelques
  positions dans une quelconque 
élite ! Vous pouvez être le leader de votre foyer, le leader de vos enfants, de vos collègues, de vos coéquipiers au sport, de votre département au travail, mais aussi et surtout, le leader de VOTRE VIE, le maître de votre destin...

La solution pour ne plus avoir de problèmes
Norman Vincent Peale, un des auteurs les plus fameux traitant de pensée positive, reçut un jour la visite d'un homme qui lui dit :

"Docteur, j'ai tellement de problèmes, je ne sais pas comment y faire face. Donnez-moi une solution."
"Si je comprends bien vous aimeriez trouver un endroit où l'on n'a pas de problème ?"
"Oui, c'est cela, je suis prêt à donner tout ce que j'ai pour cela."
"Ce n'est pas nécessaire, je vais vous amener à un endroit où personne n'a de problème. A dire vrai, il ya là 15.000 personnes qui n'ont plus de problème."
Et il l'amena... au cimetière le plus proche !
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La vie est faite de problèmes. Et chaque problème porte en lui sa face positive - et négative. Si vous vous concentrez sur le négatif, votre vie sera un enfer.
Si, par contre, vous apprenez à reconnaître l'opportunité qui se cache dans chaque problème, votre vie sera passionnante et heureuse.
La prochaine fois que vous rencontrez un problème, prenez le temps de l'examiner sous tous ses angles, de changer de point de vue jusqu'à découvrir sa face positive.
Ceux qui réussissent dans la vie ont appris à résoudre les problèmes. Ils ne réussissent pas parce qu'ils n'en ont pas. En fait mieux vous savez résoudre les problèmes plus on est prêà vous payer cher.  
  Donc, à chaque fois que vous rencontrez un problème, demandez-vous si par hasard la solution que vous trouvez ne pourrait pas vous rendre riche.
Ayez plus de moments de bonheur
J'ai assisté à une conférence sur le bonheur, d'un chercheur américain.
Il listait les travaux les plus récents sur le sujet et bien sûr l'optimisme et la pensée positive y avaient une grande part.

Mais un r
ésultat a attiré mon attention:
Un des grands facteurs de bonheur est "Avoir des gestes de gentillesse spontan
ée".

    Wouaah !

Je savais qu'avoir des attentions, des gestes de gentillesse pour les autres contribuaient 
à LEUR bonheur. Mais je n'avais jamais réalisé combien cela a une action sur NOTRE bonheur.

Et quand on y réfléchit, c'est évident, on se sent mieux en étant généreux, tolérant, indulgent, attentif, attentionné, en respectant et en écoutant les autres que le contraire.

Alors, quel acte de gentillesse spontané allez-vous avoir aujourd'hui ?

« C'est comme si vous plantiez des graines de bonheur. Elles vont pousser et devenir fleurs de bonheur dans votre jardin intérieur. « 

Coups durs, échecs, angoisses, sont-ils utiles?
Un jour, une ouverture apparut dans un cocon. Un homme s'assit et regarda le papillon naissant se battre pendant des heures pour crever son abri et forcer le petit trou à s'agrandir. Mais bientôt il sembla à l'homme que l'insecte ne progressait plus.

Il 
était allé aussi loin qu'il avait pu, mais il ne bougeait plus.

Alors l'homme prit une paire de ciseaux et découpa délicatement le cocon pour aider le papillon à sortir. Celui-ci émergea facilement. Mais il avait un corps chétif et ses ailes froissées étaient atrophiées.

" Pas grave, il va se développer " se dit l'homme.
Et il continua à regarder le papillon en espérant qu'il déploie ses ailes pour voler.

Mais cela n'arriva jamais. Le papillon passa le reste de sa vie à ramper sur son petit corps, incapable d'utiliser ses ailes rabougries.

Ce que l'homme, dans sa bonté précipitée, n'avait pas compris, c'est que le cocon trop serré est une ruse de la Nature pour forcer le papillon à le percer et à entraîner ses ailes... A cette condition seulement, il peut voler.

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« Parfois, nos angoisses, nos 
échecs, nos coups durs sont précisément ce dont on a besoin. Si la nature permettait qu'on avance dans la vie sans jamais rencontrer aucun obstacle, cela nous affaiblirait, nous serions semblables à ce papillon trop vite naîà qui la facilité a coupé les ailes.

« La liberté est chèrement acquise... Mais on ne vole pas sans s'entraîner un minimum ! »
" Il faut que le désir soit irrité par des obstacles. L'homme qui n'a rien à désirer est à coup sûr plus malheureux que celui qui souffre. "
« Le Baron D'Olbach »

La corde invisible nous empêchant de progresser
Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché pour vendre sa récolte.

La ville était loin et il lui faudrait plusieurs jours pour l'atteindre.

Le premier soir, il s'arr
ête pour bivouaquer non loin de la maison d'un vieil Hermite.

Au moment d'attacher son dernier âne, il s'aperçoit qu'il lui manque une corde.

Si je n'attache pas mon âne se dit-il demain, il se sera sauvé dans la montagne!

Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les 2 autres et prend la direction de la maison du vieil Hermite.

Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas une corde à lui donner.

Le vieillard avait depuis longtemps fait vœux de pauvreté et n'avait pas la moindre corde, cependant, il s'adressa au paysan et lui dit:

"Retourne à ton campement et comme chaque jour fait le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et n'oublie pas de feindre de l'attacher à un arbre."

Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le vieil homme.

Le lendemain dès qu'il fut réveillé, le premier regard du paysan fut pour son âne.
Il 
était toujours là!

Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de se mettre en route, mais là, il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fit.

L'âne refusait de bouger.

Désespéré, il retourne voir l'Hermite et lui raconte sa mésaventure.

"As-tu pensé enlever la corde?" lui demanda-t-il.

"Mais il n'y a pas de corde!" répondit le paysan.

"Pour toi oui mais pour l'
âne..."

"Le paysan retourne au campement et d'un ample mouvement, il mime le geste de retirer la corde.

L'âne le suit sans aucune résistance.
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Ne nous moquons pas de cet âne. Ne sommes-nous pas, nous aussi, esclave de nos habitudes, pire, esclave de nos habitudes mentales?

Demandez-vous quelle corde invisible vous empêche de progresser... ?

La vieille dame au restaurant
Une vieille dame s'arrête un soir dans un restaurant d'autoroute.

Elle va au self et prend une soupe chaude, puis va s'asseoir toute seule 
à une table. Elle se rend compte qu'elle a oublié de prendre du sel.

Elle se lève, erre un peu dans le restaurant avant d'en trouver, et retourne à sa table.
Mais en revenant, elle y trouve un noir assis, qui plonge sa cuillère dans le bol de soupe et la mange lentement.

"Oh! Il a du culot ce noir! pense la brave dame. Je lui apprendrais bien les bonnes manières "

Mais elle s'assied sur le côté de la table, et charitablement le laisse manger un peu de sa soupe. Tirant un peu le bol à elle, elle plonge sa cuillère elle aussi, cherchant à partager au moins cette soupe avec lui.

Le noir retire doucement le bol vers lui, et continue de manger.

La dame se remet à le tirer légèrement vers elle, pour pouvoir y avoir accès. Et ils finissent la soupe ainsi.

Alors le noir se lève, lui fait signe de patienter, et revient avec une portion de frites énorme, qu'il partage avec elle, comme la soupe.

Enfin ils se saluent, et la dame part aux toilettes. Mais quand elle revient, elle veut prendre son sac pour partir, et découvre qu'il n'est plus au pied de sa chaise.
"Ah! J'aurais bien de me m
éfier de ce noir!".

Elle hurle dans tout le restaurant, criant au voleur, jusqu'à ce que finalement on retrouve son sac, posé au pied d'une table où repose un bol de soupe refroidie... SON bol auquel personne n'a touché.

C'était elle qui s'était trompée de table et avait partagé le repas de l'homme!
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"Le cœur de l'homme est son paradis ou son enfer."
  Jean-Jacques Rousseau

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Comment réagissez-vous à la critique ?

Ole Bull, le violoniste norvégien du siècle dernier, avait étudié avec de bons professeurs, mais pas d'excellents professeurs.
Il était si doué qu'il décrocha, à 25 ans, une tournée européenne.
Arriv
é à Milan, un critique écrivit, après avoir assisté à son concert :

"C'est un musicien qui manque encore de formation.

Certes, c'est un diamant, mais pour l'instant il n'est ni taillé ni poli."

Lisant cette critique, il accusa le coup.

Puis il se leva, se rendit au siège du journal, et demanda à parler au journaliste. C'était un musicologue de 70 ans, qui savait de quoi il parlait.

Ole Bull écouta dans le détail tout ce que cet homme avait à dire sur son jeu, sur ses erreurs, sur ce qu'il pouvait encore améliorer.

Le lendemain, il annula le reste de sa tournée, retourna chez lui, changea de professeurs, et travailla son jeu pendant 6 mois.

Il reprit ensuite les concerts et connut un succès sans précédent, toute sa vie.
 « Nous pouvons prendre les critiques - si elles sont fond
ées -
  comme des atteintes 
à notre image, ou comme des incitations à
  changer, 
à progresser, à persévérer jusqu'à réussir. »
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"L'humilité consiste à s'évaluer correctement."
  Charles Spurgeon

La richesse est-elle dangereuse?
 "Karl Rabeder est un homme d'affaires autrichien qui a décidé l'année dernière de se débarrasser de son immense fortune. Il vit aujourd'hui avec 1 000 euros (1 400 dollars) par mois"

Un de mes correspondants, inquiet, m'a envoyé cet extrait de presse.

La richesse rend-elle malheureux ?

Est-elle dangereuse ?

Ainsi tout ce que l'on fait pour s'enrichir ne servirait à... rien ?

"Christian, rassurez-moi : 
êtes-vous heureux ?"

 Voici ma r
éponse.

 La richesse n'apporte pas le bonheur. Elle peut m
ême apporter le contraire. Mais elle peut largement contribuer au bonheur.

Prenons l'échelle de Maslow. Une fois les besoins physiologiques remplis, nous passons aux besoins de sécurité. Là l'argent joue un rôle. Quand on a du mal à payer ses factures, quand on craint l'huissier et les relances de paiement, c'est désagréable, voire angoissant. Difficile d'être heureux quand on a le ventre vide et l'angoisse du lendemain.

Ce n'est que lorsqu'on a dépassé ce cap qu'on peut passer aux besoins d'appartenance, aux besoins de reconnaissance et à l'épanouissement
  personnel.

Prenons Karl Raberer. Il a fait fortune, et a pu fonder une O.N.G. de micro-financement. Sans cette fortune il n'aurait pas pu le faire.

Sa femme l'a quitté quand il a décidé de se débarrasser de sa fortune... ou il s'est débarrassé de sa fortune après que sa femme l'ait quitté. Il me semble qu'aimer et se sentir aimé est une des clefs du bonheur.

Aujourd'hui il vit dans un petit chalet qu'il nomme cabane et que beaucoup de personnes lui envieraient. Il est sur les flans d'une montagne dans la nature, près d'un charmant village autrichien. Il n'a pas de loyer à payer. Il est propriétaire de son terrain. Il donne des cours sur l'art du bonheur qui lui assurent son quotidien et ses frais.

A-t-il des enfants dont il doit payer  les études ? Des frais de santé auxquels
il ne pourrait faire face ? Des imp
ôts qui l'écrasent ? Non, il vient même de
r
égler 400.000 euros aux impôts pour pouvoir se lancer dans sa nouvelle aventure.

Il ne faut pas confondre la fin et les moyens. L'argent est un moyen. Il donne de la liberté et de la sécurité... mais pas du bonheur.

Un de mes amis était architecte, d'une humeur agréable et insouciante. Il a
fait un gros h
éritage. En quelques années son caractère s'est assombri. Il a peur de se faire voler, craint pour son argent, est devenu radin. Exemple de l'argent qui ne fait pas le bonheur.

Un de mes amis a fait fortune sur Internet. Son rêve était d'apporter sa
contribution 
à des enfants du Burkina Faso. Il a construit des écoles, participe à de nombreux projets qui l'enthousiasment. Il est heureux.

J'ai connu le manque et de gros ennuis d'argent. Et donc ma fortune contribue à mon bonheur. Mais ce n'est pas mon bonheur. Je ne suis pas oncle Picsou qui compte et recompte son argent.

Mon bonheur, ce sont ma femme, mes enfants, mes amis, tous ceux qui m'entourent, les projets que je mène à bien, mon équipe, les témoignages de mes étudiants. Et bien sûr les grands moments que je m'aménage avec moi-même, avec un bon livre ou avec la nature.

L'argent a une place dans tout cela, c'est une énergie, un flux, une mesure
de ce que l'on apporte aux autres. Je ne me leurre pas : je l'appr
écie d'autant
qu'il m'a manqu
é. Mais je peux me contenter de très peu et être parfaitement heureux. Le reste est la "cerise sur le gâteau".

Les médias se sont emparés de l'histoire de Karl Raberer pour prouver que l'argent est la source du mal, que l'argent est mauvais, qu'il est source de corruption et d'hypocrisie. Il s'est "débarrassé" de sa fortune ? Non, il en a fait don à son O.N.G.

Karl dit que quand il était riche il n'avait pas de vrais contacts avec les gens. Il est possible que son attitude et ses signes de richesse l'aient coupé des autres.

C'est pourquoi je n'aime pas porter de montre, ni de signes extérieurs de richesse qui exprimeraient un "Je suis différent de vous "prétentieux et faux. La situation de Karl est propre à Karl. Elle n'est pas une règle générale.

C'est à chacun de savoir de quels moyens il a besoin et pour quelle fin -et cela change au cours de l'existence.

Si vous voulez devenir riche, prenez la décision de l'être en 2014. Vous verrez bien ce qu'il en est. Mais ne tombez pas dans le piège qui consiste à haïr et critiquer sans cesse les riches, vous empêchant bien évidemment…de le devenir vous-même