mercredi 2 octobre 2013

SOCIÉTÉ & COUP D'ŒIL: SAINT DOMINGUE & HAITI, OUTRAGE ET DÉCEPTION...

Faut-il ressusciter du tombeau le fameux Général Roi Henry Christophe, L’empereur Jean-Jacques Dessalines, Le Général  imbécile Jean-Pierre Boyer, ce dernier qui a gouverné lâchement l’île entière pendant 21 ans et n’a pas pu consolider cette unification de l’île. 

Faut-il ressusciter les généraux pour la reprise de la Campagne de l’Est. Notre page d’histoire a eu des repères incommensurables mais nous avions tous raté une partie de notre territoire qui maintenant est entre les mains des gens ingrats et sans scrupules. Ils nous font aujourd’hui la guerre de l’imbécillité au lieu de rendre une action de grâce  en faveurs de nos fameux Héros qui ont sacrifié leurs vies  et donné leurs sangs pour nous léguer cette partie de terre qui autrefois était l’île d’Haïti mais aujourd’hui divisée en deux Républiques sœurs : La République d’Haïti a' l'Ouest et la République Dominicaine a' l'Est. Cette dernière qui devrait être la nôtre nous fait la loi d’imbécile aucun. Haïti paie orageusement aujourd’hui le prix de sa générosité providentielle d’avoir contribué à la libération de tous les peuples du monde du joug de la servitude. C’est le prix à payer d’être un peuple providence… 

Que les forces de 1803 se réveillent de leurs silences et sommeils cimetières pour défier pour toujours ces gens sans froid ni loi qui nous outragent de jours en jours…Mais nous avons prêté vraiment le flanc d'une telle humiliation et déception.  Mais devraient-ils nous traiter ainsi ? Méritons nous une telle considération abaissante? Bien que nos hommes politiques la méritent vraiment par leurs façons d'agir...!!! Un peu de respect pour ce petit pays candide dont ses gens sont tous naïfs et innocents...

SDPI, le jalon du futur, une nouvelle vision, une nouvelle approche pour un nouveau paradigme....!!!

Pourquoi je suis impatient d'avoir 80 ans: Ma grand-mère, qui vécut jusqu'à 98 ans, disait souvent que la décennie de ses 80 ans avait été une des plus intenses de sa vie


Pourquoi je suis impatient d'avoir 80 ans
Quand ce sera mon tour, j'espère mourir en plein travail, comme





Francis Crick, un des découvreurs de l'ADN. 
Il était en grande conversation lorsqu'il reçut un coup de téléphone lui annonçant que son cancer du côlon était de retour. Il remercia simplement son médecin, raccrocha, et resta silencieux pendant une minute, le regard dans le vague. Puis, il reprit sa conversation, exactement où il l'avait laissée. Lorsque, quelques semaines plus tard, on l'interrogea sur sa réaction à son diagnostic, il dit : « Tout ce qui a un début doit aussi avoir une fin. » Lorsqu'il mourut à l'âge de 88 ans, il était dans la phase la plus fructueuse de sa carrière scientifique. 
Coluche fut moins élégant lorsqu'il déclara : « Si vous ne vouliez pas mourir, il ne fallait pas naître ! Avec le préservatif Nestor, je ne suis pas né, je ne suis pas mort ! ». Mais son humour cachait, comme souvent, une profonde sagesse. 

Ma grand-mère, qui vécut jusqu'à 98 ans, disait souvent que la décennie de ses 80 ans avait été une des plus intenses de sa vie. Elle racontait qu'elle avait ressenti, non pas un rétrécissement, mais un développement de sa vie intérieure et de ses perceptions. A 80 ans, vous avez une longue expérience de la vie : pas seulement de votre vie, mais aussi de la vie des autres. Vous avez vu des triomphes et des tragédies, des victoires et des défaites, des révolutions et des guerres, de grandes réussites et de grandes catastrophes. Vous avez vu des théories s'imposer, puis être renversées par la réalité des faits. Vous êtes plus conscient de la fragilité des choses, et plus ému devant la beauté, la fragilité, l'innocence. A 80 ans, vous pouvez regarder les événements de loin et mettre l'Histoire en perspective d'une façon qui n'est pas possible plus tôt. Vous pouvez imaginer, sentir dans vos os, ce qu'est un siècle, chose impossible à 40 ou même 60 ans. 
Je ne considère pas la vieillesse comme une période plus triste qu'il faut endurer, mais comme un temps de liberté, où vous êtes libéré des urgences souvent factices que vous vous étiez imposées dans votre jeunesse. Vous êtes libre d'explorer ce qu'il vous plaît, et de ré-explorer les pensées, les sentiments et les événements qui ont fait votre vie. 
On pense souvent, enfin, que les personnes âgées deviennent acariâtres, difficiles à vivre. En ce qui me concerne, je n'ai pas souvent constaté de bouleversement de caractère chez les personnes qui prenaient de l'âge autour de moi. Je dirais plutôt que les tendances naturelles s'affirment, deviennent plus nettes, et c'est pourquoi les défauts, plus évidents, deviennent pour l'entourage plus difficiles à ignorer, et donc à supporter. Une mère angoissée pour ses enfants sera encore plus inquiète pour ses petits enfants. Un homme égocentrique à 30 ans peut sombrer dans un égoïsme extrême à 80. 
Mais cela est vrai également des qualités. La plupart des fondations philanthropiques devraient fermer si tout le monde mourait avant 75 ans. C'est autour de cet âge là en effet que l'on commence à donner une part significative de ce que l'on possède. Même si, toute votre vie, vous avez essayé de vous convaincre que la valeur de l'argent, utilisé exclusivement pour soi et ses plaisirs, n'est pas si grande, ce n'est en général qu'en approchant de 80 ans que la chose devient une réalité, que l'on met en pratique ses principes ! On réalise que les autres ont peut-être plus besoin de cet argent (ces « autres » pouvant être bien sûr ses propres enfants) ou qu'il est possible de faire de grandes choses avec, en le consacrant à une œuvre. 
Avant l'invention de la Sécurité Sociale, de l’Éducation nationale et du Ministère de la Culture, d'innombrables mécènes ont fondé des hôpitaux, des orphelinats, des écoles, soutenu des artistes, ou bien sûr bâti des églises, et ce sont d'ailleurs souvent ce qui nous reste de ces monuments qui sont la principale attraction des touristes d'aujourd'hui. Mais hier comme aujourd'hui, les grands mécènes n'étaient généralement pas de parents de trente ou quarante ans, empêtrés dans le remboursement de leur prêt et l'éducation de leurs enfants. C'était des personnes âgées, généreuses, sages... et sans doute heureuses. 

Je suis impatient d'avoir 80 ans... 
JMD


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Ne gaspillez pas votre argent avec le sirop d'agave Parmi les plus grandes réussites marketing de l'industrie agroalimen- taire ces dernières années, le sirop d'agave pourrait gagner la médaille d'or.


Ne gaspillez pas votre argent avec le sirop d'agaveParmi les plus grandes réussites marketing de l'industrie agroalimen-



taire ces dernières années, le sirop d'agave pourrait gagner la médaille d'or. 
Totalement ignoré du grand public (et même de beaucoup d'experts) il y a dix ans, le sirop d'agave a conquis une place de choix dans les magasins bios, pour partir ensuite à la conquête des rayonnages de supermarchés, avec une fougue qui n'a jamais faibli. 
Vous trouvez du sirop d'agave aujourd'hui partout dans le commerce. Rares sont les foyers qui ne l'ont pas essayé. Des millions l'ont adopté. 
Pour quelle raison ? Parce que les « marketeurs » qui ont lancé le sirop d'agave ont eu l'idée de génie de le faire passer pour une substance d'un nouveau genre, au pouvoir sucrant supérieur à celui du sucre, sans plus d'effet sur la glycémie (taux de sucre sanguin) que des fruits, donc recommandé pour les diabétiques, tout en étant entièrement « naturel » et, bien entendu, « biologique ». 

De plus, les campagnes de communication qui ont accompagné le lancement du sirop d'agave ont habilement laissé entendre qu'il s'agissait d'un produit traditionnel, utilisé de longue date au Mexique. 
Cette opération a permis de faire avaler au consommateur le prix exorbitant du sirop d'agave, tout en multipliant les lignes de produits alimentaires dont il entre dans la composition : on trouve aujourd'hui des boissons, des barres de céréales, des desserts et de nombreux autres produits au sirop d'agave, et tout cela dans les rayons diététiques ou bio des magasins. 

Et pourtant, en réalité, le sirop d'agave n'est ni traditionnel ni bon pour la santé. 
Son index glycémique (effet sur le taux de sucre dans le sang) peut être aussi élevé que celui du glucose pur. Et il n'est ni recommandé pour les diabétiques, ni pour les personnes qui cherchent à perdre du poids ou retrouver un équilibre alimentaire. 

Qu'est-ce que l'agave ?
L'agave est une plante qui pousse principalement au Mexique, mais on la trouve aujourd'hui dans toutes les régions chaudes et sèches, ainsi que dans les pays méditerranéens. La plante n'était connue jusqu'à très récemment que comme composant principal de la tequila. 
Lorsque la plante atteint l'âge de dix ans, les feuilles sont retirées, pour extraire le coeur de la plante, qui peut peser 25 à 75 kg, et a la forme d'un gros ananas. La sève qui se trouve à l'intérieur est extraite et transformée en « sirop d'agave », en la faisant bouillir plusieurs heures, ainsi que les Canadiens font bouillir la sève de l'érable pour en faire du sirop d'érable. 

Le produit que vous obtenez de cette manière est appelé inuline, à forte teneur en fructose.

Idées fausses sur le sirop d'agave

Le consommateur imagine souvent que le sirop d'agave contient peu de calories. 
C'est faux. Une cuillère à café de sirop d'agave contient 16 calories, soit autant que du sucre. 
Les diabétiques et pré-diabétiques consomment du sirop d'agave parce qu'ils pensent que son index glycémique est faible, et que sa consommation n'entraîne pas de pic de glycémie dans le sang. 

Attention : en réalité, tout dépend de la façon dont le sirop d'agave a été fabriqué. Suivant les modes de fabrication, l'index glycémique (IG) du sirop d'agave peut varier de 55 (comme des spaghetti bien cuits) à 90, soit autant que le sucre blanc, et vous ne trouverez probablement pas l'information sur l'étiquette. 

Si vous êtes diabétique, il est important de savoir que très peu d'études ont été faites sur les rapports entre sirop d'agave et diabète, et la plupart d'entre elles ont été faites sur des rats, non des êtres humains. 

Pourquoi le fructose pose problème
Permettez-moi d'abord de clarifier un point important. Le fructose concentré ne se trouve pas naturellement dans les fruits, ni d'ailleurs autre part dans la nature. Quand on trouve du fructose dans la nature, il est toujours accompagné d'enzymes, d’eau, de vitamines, de minéraux, de fibres et de pectine, et il est naturellement mélangé à d'autres sucres. 
Le fructose concentré, lui, est obtenu par un processus de raffinement, de façon artificielle. 
Lorsque vous mangez des fruits, le fructose est absorbé lentement avant de passer par votre foie qui va le transformer en énergie immédiatement disponible. En revanche, si vous consommez du fructose concentré, ou purifié, le fructose arrive trop rapidement au niveau du foie qui ne peut pas tout transformer en énergie. L’excédent est alors transformé en graisses qui vont circuler dans votre sang avant d’être stockées. 

Si vous avez bien lu ce dernier paragraphe, c'est là que vous avez la clé du mystère qui vous explique pourquoi manger des fruits est bon pour vous, et manger du fructose très mauvais. 

Même si le fructose ne fait pas monter ni s'écrouler votre glycémie, il n'est pas converti en glucose sanguin comme les autres sucres. D'où l'idée que le sirop d'agave, très riche en fructose concentré, serait bon pour les diabétiques. 

Ce n'est en réalité pas le cas. 
Tout récemment des chercheurs en Harvard ont ainsi démontré que manger des fruits entiers diminue le risque de diabète de type 2 alors que boire des jus de fruits, riches en fructose concentré et dépourvus de fibres, augmente ce risque (1). 

En plus, le fructose inhibe votre niveau de leptine, l'hormone de la satiété qui indique à votre corps que vous n'avez plus faim. En d'autres termes, le fructose vous donne envie de manger plus. Et non seulement il vous fait gagner du poids, mais le fructose charge votre corps de graisse à l'endroit le plus dangereux pour votre santé : entre vos organes vitaux et vos viscères (graisse viscérale), dans la zone du tronc/ du ventre. 

C'est ce qui a été très clairement établi par une étude de mai 2009 dans le Journal of Clinical Investigation. (2) 

La conclusion : le sirop d'agave est riche en fructose, et le fructose est mauvais pour vous. Le sirop d'agave n'est pas traditionnel, pas naturel et hautement raffiné: c'est donc un aliment à éviter. 

Alors que faire ?
Je vais vous donner des indications mais je suis obligé de vous dire que, de toutes façons, quoi qu'il arrive, il faudra bien que vous vous habituiez à manger moins sucré. 

Le Français consomme en moyenne 35 kg de sucre par an et c'est beaucoup trop. Pour une alimentation saine, il ne faudrait pas aller au-delà de 8 kg par an. 

Mais en attendant de prendre les décisions (forcément radicales) pour atteindre ce niveau, deux points importants doivent être rappelés : évitez les édulcorants artificiels. Ils causent de toutes façons plus de tort que le sucre naturel ; 
Avez-vous déjà essayé la stévia ? C'est un édulcorant naturel utilisé par les indiens Guarani du Paraguay et du Brésil. Celui-là est compatible avec les régimes hypoglycémiques et les régimes pour diabétiques. 

A votre santé !
Jean-Marc Dupuis

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Le silicium organique est une des « tartes à la crème » de la santé


Arthrose : la solution « silicium organique »
Le silicium organique est une des « tartes à la crème » de la santé



naturelle. Dans tous les salons bio, vous trouvez des stands animés par des commerciaux professionnels vantant ce produit « miracle » pour soigner à peu près toutes les maladies. 
La vérité, comme toujours, est plus compliquée. Peu de recherches scientifiques ont été faites sur les vertus thérapeutiques du silicium, et même ceux qui croient en ses bienfaits sont incapables d'expliquer comment il agit ou pourquoi il ferait du bien à l'organisme. 
Le résultat est une guerre de l'information sur Internet. 
D'un côté, des journalistes balayent d'un revers de la main les fabricants comme les utilisateurs de silicium organique, accusant le produit d'être inutile voire dangereux. Un exemple fort est celui du journal Sciences & Avenir (1), qui, manifestement, ne croit pas du tout aux vertus du silicium... Mais le journaliste ne fait que répéter le discours des autorités sanitaires françaises (AFFSAPS) et européennes (EFSA), ce qui est un peu court quand on connaît leur degré d'ouverture intellectuelle. 

En face, vous avez une prodigieuse abondance de témoignages personnels attestant des effets incroyables de ce produit. Vous en avez un aperçu en allant lire les commentaires de ce même article de Sciences & Avenir, où le journaliste se fait assaillir de critiques par ses propres lecteurs, qui semblent, eux, avoir bel et bien essayé le produit, et en avoir bel et bien observé les bienfaits ! 

En tout cas, le silicium organique est un produit sulfureux, notamment du fait des nombreuses affaires liées à ses inventeurs, le chimiste Norbert Duffaut et le géologue Loïc Le Ribault, qui fut l'un des premiers utilisateurs en France du microscope à balayage électronique. Le premier a été retrouvé mort en 1993 (la police conclura à un suicide), le second a été emprisonné et accusé de toutes sortes de fraudes, en particulier d'avoir prétendu améliorer le produit créé par Norbert Duffaut et l'avoir commercialisé en multipliant son prix par douze, sous le nom de G5. Pour tout savoir au sujet de cette ténébreuse affaire, lire « Loïc Le Ribault et le G5 : l'aventure du silicium organique ». (2) 

Il n'en reste pas moins que le silicium organique est peut-être une solution très intéressante pour les personnes soignant l'arthrose, et pourrait soigner de nombreuses autres maladies, comme l'ostéoporose, l'athérosclérose (lésions des artères augmentant le risque d'infarctus), de nombreux problèmes de peau et de cheveux, et renforcer le système immunitaire. C'est pourquoi nous lui consacrons aujourd'hui un article approfondi. 
Les origines du silicium organique

Le sable, le quartz, et de nombreuses roches sont faites à base de silicium, qui est le deuxième élément le plus abondant dans la croûte terrestre, après l'oxygène et avant l'aluminium. 

Or, il se trouve que vous avez aussi du silicium dans votre corps, et singulièrement dans vos tissus conjonctifs, c'est-à-dire les os, le cartilage, la peau et les tissus de soutien. 

Le silicium est même un des principaux minéraux présents dans le corps humain : l'organisme en contient environ 7 grammes, contre 2 grammes pour le zinc et 4 grammes pour le fer, pourtant très importants eux-aussi. 

Avec l'âge, les réserves de silicium diminuent de façon inquiétante. Et l'alimentation moderne, comme d'habitude, aggrave les choses puisque nous ne consommons plus beaucoup d'aliments riches en silicium : enveloppe des céréales, fruits et légumes de qualité, eau de source. L'eau du robinet, en particulier, est aujourd'hui systématiquement floculée par l'aluminium qui enlève une grande partie des silicates. 

Or, le silicium est nécessaire pour la biosynthèse de nombreuses molécules comme le collagène, l'élastine et l'acide hyaluronique, éléments essentiels des cartilages, des os, de la peau et du système immunitaire. Le silicium intervient également dans la constitution des cheveux et des ongles. 

Passons en revue brièvement ses effets sur les différentes maladies : 
Comment le silicium pourrait soigner plusieurs maladies

Arthrose : le silicium est indispensable à la synthèse des glucosaminoglycanes, qu'on trouve en abondance dans le cartilage. Le déficit en silicium peut donc provoquer de l'arthrose, qui est causée par un problème de régénération du cartilage. Des études sur les cartilages embryonnaires montrent que leur croissance est liée à la présence de silicium, qui catalyse la prolyl-hydroxylase, indispensable à la biosynthèse du collagène et des glucosaminoglycanes. 

Maladies cardiovasculaires : le silicium intervient dans la synthèse et l'arrangement des fibres d'élastine et de collagène constitutives des parois artérielles, dont elles améliorent la souplesse. Il serait donc un excellent protecteur contre l'athérosclérose, une maladie cardiovasculaire pouvant provoquer l'infarctus, et diminue l'hypertension. Les analyses de la composition d'artères saines et d'artères fortement lésées par l'athérome ont clairement montré une baisse du taux de silicium dans les artères malades. 

Problèmes de peau : plus la peau est riche en silicium, plus elle est souple, épaisse, peu ridée, et cicatrise facilement. En effet, le derme, tissu qui se trouve sous la peau et la nourrit, comporte une matrice extracellulaire qui est constituée de fibres de collagène, d'élastine et de glycosaminoglycanes. Comme nous l'avons vu, le silicium est indispensable à la constitution et au renouvellement de ces fibres. Une faible teneur en silicium est aussi associée aux problèmes de peau comme le psoriasis. 

Cheveux : le silicium prévient la chute des cheveux et pourrait favoriser la repousse, en intervenant sur les phanères. 

Une substance intéressante contre le vieillissement

Le silicium est donc un outil clé pour lutter contre le vieillissement : 

le vieillissement au niveau articulaire avec l'arthrose ; 

le vieillissement osseux avec l'ostéoporose ; 

le vieillissement de la peau, avec les rides et les problèmes de cicatrisation ; 

le vieillissement des artères avec l'athérosclérose. 

Différentes études ont montré qu'il y a décroissance importante des taux de silicium, pouvant atteindre 80 %, notamment au niveau de la peau et des artères avec l'âge, et en particulier à partir de la ménopause chez les femmes. 

Faut-il pour autant vous jeter sur le premier tas de sable venu, pour reconstituer vos réserves de silicium ? 

Suffit-il de manger du sable pour rétablir l'équilibre ?

Hélas non, ce n'est pas si simple. Le sable contient énormément de silicium, mais il s'agit de silicium minéral, c'est-à-dire oxydé et inerte. Il n'a probablement aucune valeur thérapeutique puisqu'il ne peut pas être assimilé par l'organisme. 

J'écris « probablement » car, curieusement, il existe en Afrique du Nord une vieille tradition d'enterrer dans le sable les personnes souffrant de rhumatismes. Or, selon Loïc Le Ribault, les grains de sable auraient justement à leur surface une petite couche de silicium organique, c'est-à-dire actif et assimilable par le corps, et notamment efficaces contre l'arthrose, l'ostéoporose, les problèmes de peau et l'athérosclérose. 

Ces affirmations n'ayant cependant jamais été prouvées par des recherches indépendantes, nous les laisserons de côté ici. Revenons au sable, donc. 

Si vous mangez du sable, vous n'avez aucun effet bénéfique à attendre car celui-ci sera de toutes façons évacué par votre corps sans être assimilé. 

Mais le silicium se trouve également dans la nature sous forme « colloïdale », c'est-à-dire par microparticules en suspension dans un liquide, comme la sève de certaines plantes : l'ortie, la prêle, le bambou. 

Toutefois, même sous forme « colloïdale », il s'agit toujours d'une forme minérale, très mal assimilée par l'organisme. Seul 1 à 10 % parviendra à passer la barrière intestinale. Pour la faible partie qui arrivera à passer dans votre sang, l'essentiel n'entrera jamais au niveau des cellules et du tissu conjonctif. Il sera éliminé par vos reins, dans les urines. Vous avez beau en manger 15 à 40 mg par jour, si vous avez une alimentation normale, vous ne pourrez atteindre les 2 mg par jour qui sont nécessaires. 

Mais le silicium existe également sous forme organique, c'est-à-dire non oxydée (on dit « réduite »), soluble, et donc active et hautement assimilable par l'organisme, y compris au niveau cellulaire. 

Pour les lecteurs qui ont des notions de chimie, il est intéressant de savoir que le silicium organique est constitué d'un groupement méthyl (1 atome de carbone et 3 d'hydrogènes), attaché à un atome de silicium, lui même attaché à une, deux ou trois liaisons alcools (-OH). Plus il y a de liaisons alcools, plus le silicium est actif. 

La molécule principale utilisée en complémentation alimentaire, et développée par Norbert Duffaut, est le monométhyl Silane Triol (MMST), qui compte trois groupements alcools (le maximum). 

A noter que la façon dont le silicium organique apparaît dans la nature est un mystère. Il n'existe à ce jour aucune publication abordant cette question. 

Intérêt pour la santé du silicium organique MMST

Cette molécule est dotée, grâce à sa structure, d'une double polarité : elle est à la fois hydrophile, grâce à ses liaisons alcool, ce qui lui donne une bonne solubilité dans l'eau, indispensable au passage dans le sang. Mais elle est également hydrophobe, grâce à son groupement méthyle, ce qui lui donne une affinité pour les graisses, et permet le passage à travers le film protecteur de la peau. 

Lorsqu'il est suffisamment dilué dans l'eau, et on ne le trouve de toutes façons dans le commerce que sous forme liquide, le MMST associé aux acides aminés ne se polymérise pas et donc ne précipite pas, ce qui garantit sa très grande biodisponibilité. Une étude rigoureuse des travaux de Duffaut conduit à choisir une concentration de l'ordre de 0,03 % pour garantir cette absence de précipitation, qui neutraliserait les effets du silicium organique. 

Il reste néanmoins fragile, y compris sous cette forme. Le silicium organique MMST ne doit entrer en contact ni avec le verre, ni avec le métal. On doit éviter de l'exposer à de trop grandes chaleurs, au froid et à la lumière. Il doit être conservé à température ambiante, dans un flacon opaque, bouché, et doit être dosé directement avec le bouchon ou un doser plastique. 

Dans ce cas, l'assimilation dans le sang est estimée entre 50 et 70 %, contre 5 % pour le silicium colloïdal. 

Seuls 5 % de la partie assimilée sera éliminée par les urines, le reste étant utilisé par les cellules et les tissus conjonctifs, contre 50 % pour le silicium colloïdal. 

Une cure apportant environ 2 mg de silicium organique par jour permettra de reconstituer les réserves, et de redémarrer la production des tissus conjonctifs, en particulier du cartilage dans le cas de l'arthrose (lorsque la destruction de celui-ci est liée à un déficit de silicium bien sûr). 

Utilisation

L'usage alimentaire du silicium organique a été interdit depuis le 1er janvier 2010 sur avis de l'agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA). Il était toutefois autorisé auparavant sans effets indésirables notoires et sa commercialisation reste autorisée à condition de ne pas le présenter comme un produit alimentaire. 

Le MMST peut-être utilisé sous forme de lotion. On l'applique sur la peau en imbibant une compresse. Comme il pénètre très bien dans la peau, il rejoint le tissu conjonctif le plus proche. C'était le moyen utilisé par Norbert Duffaut. 

Il existe aussi sous forme de gel, plus facile d'utilisation, mais il est alors mélangé à des excipients, dont il faut vérifier qu'ils répondent aux exigences de la charte « Cosmébio » pour avoir un produit optimal. 

Il est aussi diffusé sous le nom de Conjonctyl, qui est un produit à usage injectable, et qui dispose d'une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) dans tous les pays européens. 

Mise en garde


Les effets très divers relatés par témoignages, le manque de connaissances sur la forme réellement active sur les cellules, et l'absence d'études sur les effets de la complémentation en silicium organique laissent une grande zone de mystère sur la manière dont agit le silicium organique. 

Un aspect qui semble évident est que le silicium a une action nutritive, surtout chez les personnes âgées. Un organisme qui manque de silicium disponible perd une partie de son potentiel et certaines de ses fonctions s'affaiblissent. Lui apporter du silicium assimilable peut avoir des conséquences dans divers domaines (articulations, os, artères, peau, cheveux, système immunitaire, yeux) car le silicium intervient dans de nombreuses structures et fonctions. 

Si vous êtes intéressé, vous pouvez par exemple vous rendre ici (lien cliquable), chez l'un des principaux distributeurs français, pour vous procurer du silicium organique MMST. 

Si vous préférez vous procurer un silicium végétal, à base d'acide silicique, vous pouvez vous en procurer ici (lien cliquable)

Pour chacun de ces produits, il est conseillé d'associer à la solution buvable, un gel à base de silicium pour une application locale sur les zones les plus douloureuses.

A votre santé ! 
Jean-Marc Dupuis


SDPI, le sceau du futur...!!!